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21-05-2013

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Les pertes pour l'économie et les entreprises dues aux catastrophes naturelles seraient deux fois plus importantes que prévu.
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Inondations, tremblements de terre ou encore sécheresses. Les pertes économiques jusqu’ici enregistrées à la suite de catastrophes naturelles seraient en fait supérieures d’au moins 50% aux chiffres précédemment annoncés, selon le Global Assessment Report (GAR), le bilan 2013 de l’ONU sur la réduction des risques de catastrophes. « Rien que depuis le début du XXIe siècle, les pertes directes dues aux catastrophes s’élèvent à quelque 2 500 milliards de dollars (1900 euros) », a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon.

Tremblement de terre et tsunami au Japon et inondations en Thaïlande en 2011, tempête Sandy aux Etats-Unis en 2012. L’impact de ces catastrophes sur les entreprises est bien connu : des dégâts matériels qui paralysent les activités des entreprises d’une part. Des entreprises également dépendantes des infrastructures et des services aux collectivités (réseaux de transport et de distribution d’énergie, ports, aéroports, résidences des employés, etc...) d’autre part.

Conséquences directes de la mondialisation, aucune compagnie n’est à l’abri. Pas même celles installées dans des régions dites « sûres » mais qui peuvent être affectées par des catastrophes frappant des fournisseurs et des partenaires ailleurs. Exemple : les pertes subies par un fabricant de micropuces japonais lors du tsunami ont engendré une baisse de production de 150 000 véhicules pour Toyota aux Etats-Unis.

Ces risques sont rarement pris en compte par les entreprises. Or, selon les Nations Unies, l’investissement dans la gestion des risques de catastrophe est « une opportunité de renforcer la compétitivité et la durabilité des entreprises ». L’ONU estime qu’une « couverture d’assurance étendue peut permettre aux entreprises de compenser les pertes directes et les interruptions dans la chaîne d’approvisionnement », grâce à « un partenariat avec le secteur privé » (banque d’investissement et compagnies d’assurance notamment).

Le rapport de l’ONU est à lire ici.

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Journaliste à Terra eco. Folle des bébés chiens, droguée au chocolat et mordue de nature.

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