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26-09-2013

Solutions à froid pour planète trop chaude

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Rendre le ghetto plus vert, le Bronx, New York, juillet-octobre 2010, par Nina Berman.

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Steamland, énergie géothermique, Islande, novembre 2010, par Pep Bonet.

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Tenir le soleil dans vos mains, Kenya, novembre 2010, par Stanley Greene.

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Retour à la terre, Sibérie, Russie, novembre 2010, par Yuri Kozyrev.

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Tupande Miti, exploitation forestière durable, République démocratique du Congo, novembre 2010, par Alixandra Fazzina.

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La solution cubaine, Cuba, octobre 2010, par Jon Lowenstein.

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Energie éolienne, Chine, novembre 2010, par Kadir van Lohuizen.

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Au Brésil, une solution douce, Brésil, octobre 2010, par Francesco Zizola.

 
Dans leur nouvelle exposition collective, les photographes de l’Agence Noor témoignent d’initiatives locales pour lutter contre le changement climatique. Des propositions pas parfaites mais concrètes, partout dans le monde.
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ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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Quelles conséquences ont les conséquences ? C’est la réponse à cette question qu’ont cherchée ces trois dernières années les photographes de l’agence Noor. Explications. En 2009, à l’occasion du sommet de Copenhague, ils présentaient l’exposition collective « Consequences », sur les ravages du changement climatique. Mais « nous nous sommes rendu compte que notre projet était incomplet, raconte le photographe italien Francesco Zizola. Nous avons ressenti le besoin de documenter l’autre face, ces efforts qui essaient de modérer ou d’infléchir le changement climatique. » Alors les huit hommes et femmes ont consulté ONG, journalistes et scientifiques et se sont envolés pour Cuba, le Kenya, la Chine… Avec conviction, mais sans angélisme. « Mon projet concerne la production d’éthanol à base de canne à sucre, au Brésil, explique Francesco Zizola. Cela permet au pays de réduire ses émissions de CO2, mais cela contribue à la hausse du prix des ressources alimentaires. » La nouvelle exposition, « Solutions », se veut le témoin de ces contradictions… et de ces espoirs. —

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