Ils parcourent Pékin avec des petits appareils semblables à de vieux postes de radio. Pas nostalgiques d’un temps révolu, ces Chinois relèvent en fait les niveaux de pollution de l’air et les postent sur Internet, relate le magazine américain Newsday. Il faut dire qu’un épais brouillard a enveloppé la capitale pendant plusieurs jours en décembre. Mais le gouvernement chinois, lui, garde secrètes ou minimise les données. Entre autorités, experts et citoyens, la bataille des chiffres fait rage.
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