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Et si... ?

Par Penelope
27-02-2013

J’ai changé de vie en 2 ans, 6 mois après ça continue !

J'ai changé de vie en 2 ans, 6 mois après ça continue !
((P.M. 2012 - Photo mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France.))
Deux ans de changements progressifs, 6 mois de changements intensifs ! Ce n'était pas prémédité, je n'ai jamais pris consciemment la "décision" de changer ma vie et mes habitudes mais cela s'est fait progressivement, dans le temps. C'est seulement quand je m'arrête pour regarder en arrière que je me rends compte du chemin parcouru et à quel point je ne suis plus la même...

Le premier article que j’ai écrit sur le blog Terra Eco suite au lancement des « ambassadeurs de la transition » était la synthèse de 2 années de changements dans ma vie. Ces changements étaient une suite logique à des années de questionnements et réflexion (un passage de la marche arrière au point mort en quelque sorte), et des quelques évènements et prises de conscience qui ont enclenché la marche avant.

Cela fait bientôt 6 mois que j’ai fait ce bilan, que s’est-il passé depuis ?

Et bien j’ai passé la seconde, voire la troisième, pour tester encore plus loin, pour repousser encore mes croyances, pour aller vers encore plus de cohérence entre mes convictions et mes actions. Je me suis énormément documentée, sans même m’en rendre compte à vrai dire, et j’ai expérimenté à chaque fois que cela sonnait juste en moi.

Une précision au passage, un peu en réponse à un commentaire de l’autre article : j’ai quitté mon travail en mai dernier (rupture conventionnelle) pour prendre le temps de découvrir comment je veux vivre, qui je suis, pourquoi je suis là, et ainsi voir ce dont j’ai réellement besoin et faire le tri dans mes croyances. Sortir du système « je passe mon temps à travailler pour gagner de l’argent puis – s’il en reste après avoir payé les bases – le dépenser pour décompresser de la semaine / du mois / de l’année... » et passer à « de quoi ai-je réellement besoin pour vivre en respectant la planète et les êtres qui vivent dessus et comment m’y prendre pour être le plus utile possible dans ce cycle ? »

Voici les résultats de ces expériences :

Alimentation :

j’ai testé de ne manger pendant une période QUE des aliments venant directement de la nature, tels qu’ils ont été cueillis, non transformés. Des fruits, des légumes, des plantes diverses et variées de la salade au persil en passant par le plantain, des oléagineux... Et donc uniquement des produits pouvant être achetés en vrac sans emballage ni sur-remballage, et qui n’ont pas nécessité d’autre énergie (dans tous les sens du terme) que la cueillette et le transport. Je retiens beaucoup de cette expérience, et il est sûr que dorénavant je m’orienterai de plus en plus vers l’alimentation "vivante" et à défaut un mode d’alimentation proche des recommandations telles que celles du Docteur Seignalet.

  • Les plus : très étonnant niveau santé, vitalité et clarté d’esprit, et le plaisir pur de ne générer aucun déchet qui ne soit retournable tel quel dans la nature (du trognon de pomme à la peau de banane en passant par les fibres qui sortent de l’extracteur de jus, tout est compostable/décomposable dans un délai raisonnable, contrairement au plastique etc.)
  • Les moins : pas évident tous les jours au niveau vie sociale (surtout si la décision s’étend pour le test à ne manger tout cela qu’à l’état naturel – cru et non assaisonné donc – pour retrouver le goût des aliments et découvrir intérieurement comment fonctionne le corps avec une nourriture qui lui est physiologique), et pas mal de remous émotionnels (mais ça fait beaucoup avancer donc c’est un moins sur le moment seulement) !
  • Le rappel : produits privilégiés de saison autant que possible, bio voire biodynamie ou producteur dont je connais les pratiques, circuits courts au maximum (je me répète : vive la Ruche qui dit oui), et achat au maximum dans des lieux qui me semblent respecter l’humain... Tout ce qui est déjà détaillé dans mon premier article.

Hygiène :

Constats :

- Une fois prise l’habitude de systématiquement lire les étiquettes, vient le moment où l’on se demande dans quelle limite on accepte les produits « bof bof » ou « inconnus » sur sa peau, surtout quand on comprend que tout ce que l’on met sur sa peau passe au final dans le sang... A quoi bon faire attention à ce que l’on avale si par ailleurs on se gave de produits chimiques via la peau ?

- Quand on devient végétarien (et encore plus quand on devient végétalien), on diminue les toxines rejetées par notre corps et donc il y a moins de bactéries qui viennent pour équilibrer ce qui sort [1]... Donc semble-t-il moins d’odeurs corporelles.

Résultats :

Après un passage par du savon 100% « naturel » (type pain de savon d’alep ou de marseille) qui m’avait déjà permis de supprimer une bonne partie de l’emballage (bah oui c’est recyclable mais bon, le recyclage ce n’est pas non plus anodin en terme de ressources et de pollution, et idem pour la production du flacon !), j’ai carrément osé le test ultime après qu’on m’en ait parlé cet été : ne me laver qu’avec... de l’eau ! Toilette de chat tous les jours là où il y a besoin, douche une fois par semaine en moyenne, et gommage au gant kailash une fois par mois environ. Au début autant dire que je vérifiais systématiquement auprès de mes amis et personnes que je croisais (de façon plus ou moins anodine et ouverte selon les cas) si côté odeurs ça allait, mais visiblement pas de problème, aucune différence notable par rapport à avant. En parallèle, j’ai supprimé toute crème et produit « hydratant »... J’ai fait une transition d’une année environ via des produits là aussi 100% naturels (vers la fin de la transition je ne mettais plus que de l’huile, au début plutôt orienté Weleda, puis finalement des simples huiles de noisette, d’amande douce, d’avocat ou même d’olive...), et puis finalement plus rien. Ou presque, car j’ai découvert cet été les vertus de... Tenez-vous bien, moi ça a sérieusement bloqué la première fois qu’on m’en a parlé : l’urinothérapie. Je ne détaille pas, il y a de multiples sites très bien fait sur la question, quand vous serez prêts jetez-y un œil cela en vaut la peine.
  • Les plus : je n’ai jamais eu la peau aussi douce de toute ma vie d’adulte, et quand je m’égratigne ça se répare en un clin d’oeil. Outre l’autonomie que cela apporte, les économies évidentes, et la suppression d’un pôle de génération de déchets plus ou moins conséquent, j’ai pu me rendre compte à quel point on se crée des faux besoins sur la base de fausses croyances... Et au passage je me suis rendue compte à quel point l’eau telle qu’elle coule du robinet agresse la peau tout comme les produits qu’on nous vend. Preuve à l’appui : ma peau qui était souvent très sèche l’est tout de suite devenue moins, et le psoriasis (ce truc héréditaire que je traîne depuis mon enfance et dont les médecins ne savent pas grand chose au final) a très nettement régressé. Bizarrement dès que j’augmente la fréquence des douches et/ou que je réutilise un produit « lavant », le psoriasis réapparait. Sachant que le psoriasis réagit immédiatement aux « agressions » faites à la peau [2], la conclusion est assez facile à tirer... Autre conséquence positive, alors que je suis une grande habituée aux coups de soleils (cheveux châtains mais peau de blonde, genre très claire qui rougit très vite) même avec de la crème indice 50, j’ai passé un été dans le sud avec une exposition régulière, et je n’ai pas eu une seule rougeur sans aucune protection autre que mon bon sens... Il semblerait que les coups de soleil soient favorisés par un mauvais équilibre acido-basique (l’alimentation et le mode de vie ont un fort impact à ce niveau). Exit les crèmes solaires, et bienvenue à la vitamine D !
  • Les moins : je n’ai pas encore trouvé à part le léger stress au début, le temps de trouver le bon rythme et de vérifier que je ne laissais pas sur mon chemin des odeurs peu agréables pour ceux qui me croisent... À moins bien sûr que 100% des personnes que j’ai croisées soient hypocrites et qu’en même temps mon odorat ait perdu la tête (même si l’on ne peut sentir vraiment ses propres odeurs, on peut quand même avoir une indication via son linge...).
  • L’extra : à partir de la Toussaint j’ai étendu le test aux cheveux ! Et bien ça marche aussi... Cf. un article paru dans le magazine « Le chou brave » (je n’aime pas trop le nom mais le contenu est excellent !) dont Marina du site Vivre Cru m’a parlé.

Santé :

Avez-vous aussi remarqué que majoritairement il y a deux catégories de personnes : ceux « qui ne prennent jamais de médicaments » et « ne sont jamais malades » (ou presque, on s’entend), et ceux qui ont « une santé fragile », et donc sont souvent sous traitement... Mais finalement qui de la poule ou de l’oeuf... ? Je fais initialement partie de la seconde catégorie.

Puisqu’il s’agit d’expérience personnelle, je détaille le contexte : ayant souvent été malade petite côté ORL j’ai été gavée de médicaments, idem avec le psoriasis précédemment cité. Puis en grandissant j’ai continué à avoir rhumes et rhinites qui se sont au fil du temps transformés en rhino-pharyngite-bronchite-sinusite (systématiquement « traités » avec des antibiotiques, parce que selon les multiples médecins consultés – selon déménagements et évolutions personnelles – ça n’allait pas se guérir tout seul, ce qu’alors je ne remettais pas en cause faute de connaître des alternatives) agrémenté d’allergies aux poils de chats (anti-histaminiques et plus si affinités), plus des problèmes de dos (paracétamol et anti-inflammatoires pour « l’auto-médication » en vente libre, jusqu’à une période sous morphine carrément grâce à une hernie discale « non expliquée »), et j’en passe... Rien que côté ORL c’est facile, depuis quelques années j’en étais arrivée à 3 « bronchites sur-infectées » par an. Je connaissais bien le processus : fatigue accumulée par tirage sur la corde + coup de froid = rhino-pharyngite (nez qui coule abondamment y compris par l’arrière vers la gorge) qui tombait au bout d’une semaine sur les bronches (toux grasse et crachats de toutes les couleurs avec souvent un petit souffle asthmatique en fond), le tout se finissant en sinusite qui pouvait durer de quelques jours à 2 mois ! Les médecins sur cette période ont testé pas mal de variantes, mais dans tous les cas je suis passée par les antibiotiques (1 à 3 semaines selon les cas). L’homéopathie a bien aidé par périodes, mais sans réussir à éviter complètement les traitements allopathiques. Il y a un peu plus de 2 ans, juste après la mort de ma mère je crois et alors que je commençais un nouveau boulot, j’ai senti le coup de froid et le début de rhume que je connaissais bien.

Sauf qu’au lieu d’aller voir un médecin je suis entrée dans une herboristerie. Après avoir bien demandé mes symptômes et posé pas mal de questions, l’herboriste m’a recommandé des huiles essentielles et j’ai fait l’investissement (c’est sûr que la première fois c’est nettement plus cher que d’aller chez le médecin puis à la pharmacie avec sa carte vitale..). En une semaine j’étais guérie, en ayant pu continuer à travailler (je me suis 100% reposée le week-end et j’ai abondamment transpiré 2 nuits), et sans tous les effets secondaires que les antibios me faisaient systématiquement (fatigue forte et durable, impossibilité de me concentrer, problèmes digestifs, dérèglement de la flore intestinale entraînant inévitablement des mycoses qu’il fallait traîter ensuite... par d’autres médicaments qui avaient d’autres effets secondaires !).

J’ai joué les apprenties sorcières un temps avec les huiles essentielles en alternant herboristerie et un livre assez complet sur le sujet [3], en testant en parallèle d’autres méthodes dont j’ai gardé certains éléments que j’applique encore selon les besoins (réflexologie, digitopuncture, kinésiologie, shiatsu, médecine traditionnelle chinoise, amaroli, argile...), et finalement après un nouveau déménagement où tout ce que j’avalais se retrouvait potentiellement directement en milieu naturel j’ai supprimé tous les médicaments de mon répertoire « médical » (y compris la pilule [4], que plus jamais on ne me fera avaler maintenant que j’ai conscience de ce que cela implique sur les différents éco-systèmes).

Avec l’évolution en parallèle de mon hygiène de vie (plus grand respect de mon corps et de ses besoins autant que travail sur les émotions), non seulement les « maladies » ont diminué en durée et fréquence, mais elles étaient bien plus vivables qu’avant.

Ce qui fait qu’à présent je peux concevoir la maladie comme ce qu’elle est : une tentative du corps de retourner vers la santé après un déséquilibre. D’abord, ne pas nuire, et ensuite, accompagner au mieux. Allez chercher la source et non tenter par tous les moyens de faire disparaître les symptômes, qui ne sont que des indicateurs de l’évolution du nettoyage interne...

Mode de vie :

  • J’ai testé le désencombrement massif, genre grand ménage de printemps mais version « tout doit tenir dans 18m2 » alors qu’avant j’accumulais tant que je pouvais dans des espaces nettement plus grands... M’étant retrouvée dans un espace réduit j’ai fait plusieurs tris successifs et finalement j’ai réalisé à quel point je n’avais pas besoin de tout ce que j’avais. Maintenant je suis nomade ça ne s’est donc pas arrangé et plus ça va plus j’apprécie la légèreté de mon bagage global. Il est certain que la mort de ma mère (et le tri de ses affaires ensuite) m’ont bien aidé à réaliser que l’on n’emporte rien de matériel avec nous une fois que l’on quitte notre corps. J’en ai profité pour donner tant que je pouvais (amis, familles, associations... J’aurais aimé mettre en ligne sur des sites de dons mais faute de place, de temps et de connexion stable à internet j’ai du renoncer pour cette fois), faire un vide-grenier où j’ai pas mal appris sur moi-même, et j’ai découvert grâce à ce tri le site « Mes bonnes copines » dont j’adore le principe. Je réfléchis sincèrement avant de décider un achat, parcours les sites de dons et d’occasions quand j’ai vraiment besoin de quelque chose, et j’ai vraiment eu de belles opportunités voire synchronicités de ce côté là...
  • J’ai commencé à ne plus supporter la pression du soutien-gorge, et j’ai testé si je pouvais faire sans. Surprise, ce que j’avais lu s’est révélé exact chez moi : en un mois ma poitrine s’est nettement redressée, aucun problème même quand j’ai besoin de courir ou autre (pour situer je faisais du 95B/C selon les marques), ma posture s’en est vue améliorée, les douleurs que je sentais parfois ont disparu, et à vrai dire, moi qui n’avais jamais particulièrement aimé ma poitrine je n’ai plus de problème de ce côté non plus, je l’ai redécouverte... Et cela m’a pas mal fait réfléchir à la vision que j’avais de la femme et de la féminité, qui était clairement déformée par l’image qu’en donne la société...
  • J’ai multiplié les covoiturages et nuits en couchsurfing, j’ai découvert de nouveaux univers, tout plein d’initiatives et d’expériences qui me parlent et m’étaient complètement inconnus jusqu’alors, et m’ouvrent plein de nouveaux horizons.

Les conséquences directes de tout cela : je me suis beaucoup ouverte aux autres, à la vie, à l’écoute de « ma petite voix ». Je m’accepte mieux, comme je suis, cherchant toujours à m’améliorer intérieurement mais plus pour « faire plaisir à quelqu’un » (ou pour suivre le courant d’une société dans laquelle je ne me retrouve pas), seulement parce que c’est cohérent pour moi, parce que je me sens guidée sur ce chemin... Et donc ça se fait tout seul, de plus en plus dans la joie et la simplicité de vivre vraiment ma vie. Je fais en sorte de retransmettre au fur et à mesure que je reçois, de partager connaissances et savoir-faire. Je me rends compte chaque jour que le modèle actuel de la société dans laquelle je vis n’est pas encore optimum pour cela, mais j’ai confiance cela évolue vite et c’est beau à voir !

[1] Et oui c’est le rôle des bactéries, ni plus ni moins ! Sachant que je ne fume pas et que je ne bois pas de café et plus d’alcool (même pas par choix ou idéologie, juste parce que mon corps ne les supporte tellement pas que le goût ne passe pas...), côté toxines je crois que je commence peu à peu à limiter la production à celles que mes cellules produisent alors qu’avant mon corps en avait beaucoup plus à gérer.

[2] Pour le stress, l’alimentation et l’exposition au soleil – autres facteurs qui influencent fortement le psoriasis – la réaction est chez moi plus décalée donc il m’est facile de noter la différence

[3] Danielle Festy « Ma bible des huiles essentielles »

[4] Un bon livre sur le sujet « Vivre sa fertilité naturellement »

COMMENTAIRES ( 4 )
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  • Bonjour Pénélope,

    Je me permets de vous écrire car j’ai découvert votre parcours par hasard en navigant sur internet. Je suis membre d’une association lyonnaise et nous organisons un événement en mars 2016 sur le thème du changement de vie - personnel et professionnel - abordé sous l’angle des déclics qui ont amené ce changement et en quoi il a été salutaire. Je cherche à vous contacter à ce sujet.

    Lambert

    24.11 à 19h44 - Répondre - Alerter
  • Bonjour,
    Cet article a été écrit voilà quelques temps. Pourriez-vous donner quelques informations sur la remise en question de votre vie professionnelle ? Quel équilibre avez-vous réussit à trouver par rapport à ce point précis ? Travaillez-vous à plein temps, dans quel milieu, etc... ?
    Je suis en pleine redéfinition de ma vie professionnelle : j’ai quitté la ville pour la montagne, les cuisines - pour l’instant en tout cas - pour les alpages. Il me semble qu’une vie en semi autonomie - maraichage, conserves, ruches, etc... - serait ce qu’il y a de plus "juste". J’aimerais connaitre votre opinion. Merci par avance : )

    13.06 à 10h07 - Répondre - Alerter
  • Merci pour toutes ces précisions, j’aimerais juste réagir sur un point. A propos de ne pas utiliser de savon : l’eau ne suffit pas à éliminer les pathogènes, seul le lavage avec savon est complètement efficace. Cela semble peut-être peu important dans nos mondes occidentaux aseptisé, mais dans les pays où l’assainissement est insuffisant, l’effet du savon est immense. Il a été prouvé que promouvoir le lavage des mains avec du savon réduit de moitié les cas de maladie fécale (diarrhée principalement). Si plus personne n’utilisait jamais de savon, les conséquences sanitaires à grande échelle serait assez problématique. Il ne faut pas oublier de regarder l’image toute entière.
    Bonne continuation !

    8.04 à 17h12 - Répondre - Alerter
  • Bonsoir,

    Serait-il possible que vous mettiez le lien de l’article du chou brave, concernant les cheveux, s’il vous plait ?
    Je n’arrive pas à mettre la main dessus.

    Cordialement.

    5.01 à 00h08 - Répondre - Alerter
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A PROPOS

En plein apprentissage d’un "autre monde" possible depuis 2010... A chaque nouvelle découverte, info, rencontre, je teste, j’expérimente, je m’approprie de nouveaux savoirs et mode de vie, et réalise à quel point j’ai vécu "conditionnée" sans remettre "mes bases" en question pendant 30 ans. Ces bases étaient pourtant si faussées, et les conséquences si peu en accord avec mes croyances profondes... De prises de conscience en expériences, peu à peu j’ai lâché plein de peurs inutiles et me sens ainsi de plus en plus vivante et cohérente, consciente de chaque pas sur ce chemin. Et reconnaissante de toutes les rencontres et expériences qu’il m’apporte !

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