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Gap veut laver son linge sale

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Gap a sorti ses inspecteurs. Une équipe de plus de 90 personnes qui, tout au long de l’année 2003, a effectué 8500 contrôles chez les 3000 fournisseurs du géant américain de la confection. Au final : un premier rapport de responsabilité sociale, qui reconnaît les conditions de travail déplorables encore en vigueur en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Constatant des infractions au droit social local, aux règles d’hygiène et de sécurité, mais surtout des cas de travail forcé d’enfants, Gap a décidé de cesser de s’approvisionner auprès de 136 entreprises préalablement agréées, et en a écarté une centaine d’autres, parmi 653 fournisseurs potentiels. Parmi les "points noirs" : la Chine. Des 241 usines travaillant pour Gap, seules 82 ont été jugées excellentes ou de bonne qualité. La marque américaine cherche ainsi à se racheter une conduite "durable" après avoir été à plusieurs reprises l’objet de pressions de militants anti-"sweatshops" (usines à sueur). Tout a commencé en 1995, quand Human Rights Watch révéla que les salariés de Mandarin International, sous-traitant au Salvador, étaient payés sous le salaire légal et exécutaient des journées de douze heures.

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