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14-03-2011
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Energies
Japon

Accidents nucléaires au Japon : le récit heure par heure

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Accidents nucléaires au Japon : le récit heure par heure
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Cinq jours après le séisme de Sendai, le Japon - et le monde - craignent une catastrophe nucléaire. Le fil des événements.
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ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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(Dernière mise à jour - Mardi 16 mars, 16h00)

L’actualité de la journée

Mercredi 16 mars, 16h00 :

Des images diffusées sur la chaîne japonaise NHK permettent de mesurer les dégâts importants occasionnés par les explosions et les incendies successifs sur les réacteurs de la centrale de Fukushima.

Mercredi 16 mars, 13h00 :

A l’issue du Conseil des ministres, François Baroin porte-parole du gouvernement déclare : "Nathalie Koscisuko-Morizet a évoqué la situation, son évolution depuis vendredi, les difficultés des autorités japonaises à l’évidence à obtenir un refroidissement rapide des différents réacteurs, et la ministre de l’Environnement a évoqué les pires scénarios, le pire c’est évidemment un impact supérieur à Tchernobyl".

Mercredi 16 mars, 10h30 :

Confrontée à une forte radioacativité, l’armée japonaise renonce à survoler en hélicoptère la centrale de Fukushima pour y déverser de l’eau et tenter de refroidir le combustible des réacteur selon une information de la chaîne nippone NHK, reprise par les agences Reuters et AFP.

Mercredi 16 mars, 8h00 :

La pression a baissé dans l’enceinte de confinement et le cœur du réacteur n°2 annonce l’exploitant japonais Tepco qui continue d’y injecter de l’eau de mer pour le refroidir. Le même type d’opération se poursuit sur les réacteurs n°1 et n°3, dont les cœurs ont partiellement fondu. Au niveau du réacteur n°4, où deux incendies se sont déclarés ces dernières heures et dont l’enceinte est endommagée, Tepco prévoit de disperser de l’acide borique pour limiter les réactions chmiques.


Mardi 15 mars, 18h30 :

Plusieurs médias français ont décidé de rapatrier leurs envoyés spéciaux au Japon, en raison des risques encourus après l’accident nucléaire à la centrale de Fukushima.

Mardi 15 mars, 18h23 :

Réunion avec la filière nucléaire et NKM convoquée mercredi à l’Assemblée

Mardi 15 mars, 18h03 :

Le CAC 40 termine en baisse de 2,51 %, après avoir lâché plus de 4 % en séance.

Mardi 15 mars, 17h30 :

Le chef de l’Agence internationale de l’énergie, Nobuo Tanaka, craint que l’accident de la centrale de Fukushima retarde le développement de l’énergie nucléaire dans le monde et complique ainsi, selon lui, encore un peu plus la lutte contre le changement climatique.

Mardi 15 mars, 17h07 :

Le comissaire à l’énergie européen a indiqué que des « stress tests » allaient être organisés prochainement sur les centrales nucléaires européennes afin d’évaluer les procédures de risque en vigueur.

Mardi 15 mars, 15h26 :

François Fillon annonce un contrôle des mesures de sureté de chaque centrale nucléaire française.

Mardi 15 mars, 15h16 :

Le ministre des affaires étrangères japonais, cité par l’AFP estime que la radioactivité liée à l’incendie du réacteur 4 de Fukushima peut « endommager la santé ».

Mardi 15 mars, 14h42 :

Alain Juppé redit que la France ne sortira pas du nucléaire dans les prochaines années, lors de la conférence de presse des ministres des affaires étrangères.

Mardi 15 mars, 14h34 :

Un séisme de magnitude 6 est ressenti à Tokyo.

Mardi 15 mars, 13h57 :

Nicolas Sarkozy : les événements au Japon sont « absolument dramatiques », d’une « ampleur considérable » et il ne faut « en aucun cas les minimiser ».

Mardi 15 mars, 13h42 :

Selon l’ASN, « les réacteurs n°5 à 6 étaient à l’arrêt pour maintenance lors du séisme. La situation n’évolue pas sur ces réacteurs ».

Mardi 15 mars, 11h55 :

Selon l’Autorité de sûreté nucléaire, l’accident nucléaire au Japon est de niveau 6 sur l’échelle internationale des événements nucléaires qui en compte 7.

Mardi 15 mars, 11h53 :

La chancelière allemande Angela Merkel annonce la fermeture immédiate et pour trois mois de tous les réacteurs mis en service en Allemagne « avant la fin 1980 », soit sept réacteurs.

Mardi 15 mars, 11h46 :

Le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, se dit favorable à l’organisation d’un débat parlementaire sur le nucléaire. Il a déclaré qu’il proposerait la saisine de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).

Mardi 15 mars, 11h21 :

Les stocks de sociétés installées aux Etats-Unis produisant l’iodure de potassium, utilisée en prévention d’une irradiation, ont été pris d’assaut et les pharmacies de la côte ouest ont dû faire face à une ruée de la clientèle. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a dû émettre un appel au calme. « Consultez votre médecin avant de prendre des comprimés d’iodure. Ne pratiquez-pas l’auto-médication », a indiqué l’OMS sur son compte twitter.

Mardi 15 mars, 10h55 :

Pour Nicolas Sarkozy, il n’est « pas question de sortir du nucléaire », rapporte le service politique d’Europe 1. Devant ses conseillers et quelques responsables de l’UMP, le président a assuré que le parc français était « le plus sécurisé ». Nicolas Sarkozy a rappelé qu’il avait visité le chantier de l’EPR, la centrale nouvelle génération en construction à Flamanville. « Ça résisterait à tous les missiles. Et même si un (Boeing) 747 tombait sur le chapeau d’une centrale nouvelle génération, le réacteur résisterait grâce à un système de protection à double coque », a assuré le chef de l’Etat selon un responsable de l’UMP présent. « Il faut donc raison garder », a-t-il ajouté.

Mardi 15 mars, 09h40 :

Dans une interview au Parisien, Anne Lauvergeon assure qu’ « il va falloir tirer les leçons » de la catastrophe japonaise. « En France, il n’y a pas de risque de tsunami, ni de tremblement de terre de cette ampleur. Mais il y a peut-être des leçons à tirer, notamment sur les problèmes d’inondations », a-t-elle précisé. Mais elle met en garde les écologistes contre une instrumentalisation de l’émotion.

Mardi 15 mars, 09h39 :

Le niveau de radioactivité a baissé mardi après-midi à Tokyo après être monté au-dessus à la normale dans la matinée, a annoncé la municipalité. Le niveau « est revenu proche de la normale. Mais nous devons continuer à le surveiller attentivement », a déclaré un responsable.

Mardi 15 mars, 08h28 :

Le bilan officiel du séisme suivi du tsunami s’élève à 2 414 décès, 3 118 disparus et 1 885 blessés.

Mardi 15 mars, 08h18 :

La ministre de la consommation japonaise appelle ses concitoyens à ne plus dévaliser les magasins pour faire des stocks de nourriture par crainte d’une aggravation de la crise nucléaire. Les rayons alimentaires des supermarchés et des épiceries de la région de Tokyo ont été en bonne partie vidés depuis le séisme, les habitants ayant décidé de faire des réserves au cas où ils seraient confinés chez eux.

Mardi 15 mars, 07h25 :

Intervention de la Banque du Japon. La BoJ injecte à nouveau 3 000 milliards de yens (26 milliards d’euros) sur le marché monétaire pour soutenir l’économie après le séisme, en plus des 5 000 et 15 000 milliards de yens déjà injectés respectivement dans la matinée et lundi. Soit 23 000 milliards de yens (202 milliards d’euros) en tout.

Mardi 15 mars, 07h00 :

A la bourse de Tokyo, l’indice Nikkei affiche une chute de 10,55 % en clôture.

Mardi 15 mars, 06h21 :

Panique à Tokyo selon Reuters. Plusieurs ambassades ont conseillé à leur personnel et à leurs ressortissants de quitter les zones affectées. Les touristes abrégent leurs vacances et des compagnies internationales prévoient de se délocaliser hors de la ville. Plusieurs journalistes étrangers, venus couvrir les opérations de secours dans le nord-est du pays font leur valise.

Mardi 15 mars, 05h38 :

Une zone d’interdiction aérienne a été déclarée au-dessus de la centrale de Fukushima, dans un rayon de 30km (sources gouvernementales, citées par Kyodo).

Mardi 15 mars, 03h01 :

Le premier ministre Naoto Kan s’adresse aux Japonais. « Tout a été fait pour refroidir les réacteurs mais pour les réacteurs 1 et 3, des fuites d’hydrogène ont provoqué deux explosions, un feu s’est déclaré dans le réacteur 4, et des fuites radioactives se sont produites. Les niveaux enregistrés sont hauts et il existe un fort risque que d’autres fuites plus importantes se déclarent (...) Tous les habitants dans un rayon de 20 km de la centrale doivent évacuer. Dans un rayon de 20 à 30 km, tous les habitants doivent rester chez eux. »

Mardi 15 mars, 02h28 :

L’agence Kyodo indique que des fuites radioactives pourraient être en cours au réacteur 2 de la centrale Fukushima.

Mardi 15 mars, 01h53 :

La bourse de Tokyo plonge de 6,54% (AFP).

Mardi 15 mars, 01h29 :

La banque nationale japonaise injecte 5000 milliards de yen (44 milliards d’euros) pour venir en aide à l’économie japonaise.

Mardi 15 mars, 01h07 :

L’opérateur Tepco annonce que le niveau de radiation autour de la centrale atteint 8217 microsieverts par heure soit huit fois la dose annuelle « naturelle ». Selon les autorités japonaises, en dessous d’un million de miscrosieverts par heure, le niveau de radiation ne constitue pas un danger pour la santé.

Mardi 15 mars, 00h44 :

Selon l’agence de presse Kyodo, un taux de radioactivité supérieur à la normale a été mesuré dans la préfecture d’Ibaraki, située au sud de la préfecture de Fukushima, où se trouve la centrale endommagée.

Mardi 15 mars, 00h36 :

Les cadres de la société Tepco tiennent une conférence de presse. « Nous souhaitons être transparents », soulignent-ils. Leurs agents continuent de tenter de refroidir le réacteur 2 et des évacuations sont en cours.

Mardi 15 mars, 00h10 :

- Un cran est franchi dans la catastrophe. Une explosion au niveau du réacteur n°2 est entendue, annonce faite par la chaîne NHK et relayée par CNN, puis confirmée par les autorités japonaises. Le système de refroidissement du réacteur n°2 aurait été endommagé au moment de l’explosion du réacteur n°3. Les autorités japonaises estiment que, cette fois, le réacteur a été endommagé. Des craintes de radiations importantes sont clairement évoquées.

Mardi 15 mars, 00h05 :

- La compagnie électrique japonaise Tepco annonce la mise en place d’un système de délestages tournants, afin de soulager un réseau fragilisé par le tremblement de terre. Les délestages concernent 5 régions du Japon (dont l’aire de Tokyo) et sont programmés toutes les 3 heures environ, de 6h20 à 22h00. Tepco présente ses "sincères regrets pour l’anxiété et les désagréments que ces délestages occasionnent, pour les consommateurs et pour les citoyens". Et demande aux consommateurs vivant en dehors des zones touchées par les délestages, de réduire leur consommation électrique en minimisant l’usage de la lumière et des appareils électriques.

Lundi 14 mars - 22h00 :

- Des traces de radioactivité détectées sur des soldats américains. Selon le service de presse des Armées américaines, des éléments radioactifs ont été détectés dans l’air, au large des côtes japonaises. La 7e Flotte (dont le porte-avion Ronald Reagan) a détecté de "faibles niveaux" de radiation dans les airs et sur les appareils survolant la zone au large de la centrale Fukushima. Ces mesures de radioactivité ont été réalisées sur 17 membres d’équipage d’hélicoptères, qui regagnaient la 7e Flotte après des opérations de mesures conduites dans la région de Sendai. Cette radioactivité a conduit la flotte et les aéronefs - qui croisaient alors à quelque 185 kilomètres (100 miles) au nord est du site de la centrale Fukushima - à se repositionner par précaution. Selon les officiels, la radioactivité est issue d’un rejet provenant de la centrale.

Lundi 14 mars - 17h00 :

- Le Japon a demandé l’aide des experts de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Par ailleurs, l’accident survenu dans la centrale nucléaire de Fukushima pourrait être classé au niveau 5 voire 6 sur l’échelle internationale, a déclaré le président de l’Autorité de sûreté du nucléaire (ASN), André-Claude Lacoste.

- Santé : "D’après ce que l’on sait pour l’instant sur les niveaux de radioactivité, le risque de santé publique est minime pour le Japon", a déclaré un porte-parole de l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé.

- Répercussions internationales : Angela Merkel annonce un moratoire sur l’allongement de la durée de vie des centrales nucléaires en Allemagne. Aux Etats-Unis, des parlementaires appellent aussi à un moratoire sur le développement du nucléaire. En France, le porte-parole du PS, Benoît Hamon, réclame un "état des lieux du parc nucléaire français". La ministre de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet estime que "le risque de très grande catastrophe ne peut être écarté", depuis Bruxelles, où elle rencontre ses homologues européens. Nicolas Sarkozy déclare qu’il n’est "pas question de sortir du nucléaire".

- Economie : La Bourse de Tokyo a ouvert malgré tout ce lundi et l’indice Nikkei plongé de 6,18 % sur la séance. A la Bourse de Paris, le certificat d’investissement du groupe public nucléaire Areva a chuté de près de 9% lundi en début de séance.

Lundi 14 mars - 14h00 : En raison d’une panne du système de refroidissement, il n’est pas exclu que le combustible du réacteur 2 soit entré en fusion, selon compagnie Tokyo Electric Power, l’opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima. De son côté, le gouvernement japonais, par la voie de son porte-parole, juge improbable une grosse explosion au niveau de ce réacteur, comme celles qui se sont produites dans les bâtiments supérieurs des réacteurs 1 et 3, dues à l’accumulation d’hydrogène.

Lundi 14 mars - 8h00 : Deux explosions (vidéo ci-dessous) ont été entendues ce matin sur le réacteur n°3 de la centrale de Fukushima au Japon, "blessant 11 personnes". D’après la NISA (Nuclear and Industrial Safety Agency), le réacteur n’aurait pas "subi de dommages". Une panne de refroidissement avait été observée dans la journée d’hier.

Lundi 14 mars : Le Japon est toujours suspendu aux dernières informations concernant l’état de plusieurs de ses centrales nucléaires. A Fukushima 1, une explosion a retenti samedi dans les installations abritant le réacteur n°1. Puis dimanche, c’est le réacteur n°3 qui a connu une panne de refroidissement. Au total plus de "10 000 personnes auraient péri au cours de ce séisme", et selon l’ONU, "590 000 personnes ont été évacuées depuis 3 jours".


L’actualité du dimanche 13 mars

Dimanche 13 mars : Selon l’agence Associated Press, la liste des centrales nucléaires japonaises en état d’urgence a été portée à six (NDLR :contre 5 juste après le séisme). Le Japon possède au total 55 réacteurs dans 17 complexes nucléaires différents.

Dimanche 13 mars - 20h : La polémique fait boule de neige en France. Daniel Cohn-Bendit et Nicolas Hulot ont tout deux réclamé un grand débat national sur le nucléaire. Le ministre de l’environnement Nathalie Kosciusko-Morizet estime, quant à elle, que le nucléaire "ne doit pas être abandonné".

Dimanche 13 mars - 15h : Une deuxième centrale nucléaire est placée en état d’alerte. Il s’agit de la centrale d’Onagawa où le taux de radioactivité a dépassé le seuil normal.

Dimanche 13 mars - midi : Selon le Premier ministre japonais, Naoto Kan, cité par la BBC, lors d’une conférence de presse, il s’agit de "la pire crise pour le Japon depuis la Deuxième guerre mondiale". Il ajoute que la "situation de la centrale de Fukushima, continue d’être grave".

Dimanche 13 mars - 8h35 : Après le réacteur N°1, c’est le réacteur N°3 qui inquiète. D’après les différents communiqués publiés par la compagnie d’électricité Tokyo Electric Power (Tepco), les autorités reconnaissent qu’une fusion partielle est "possible" dans le cœur du réacteur N°3. D’après l’agence Reuters, "le cœur du réacteur n°3 de la centrale de Fukushima Daiishi où la limite de radioactivité est dépassée, n’est plus refroidi. L’exploitant s’apprête à relâcher de la vapeur radioactive dans l’environnement".

Dimanche 13 mars - 8h24 : Selon le responsable de la police de la Préfecture de Miyagi, cité par ABC News, le séisme aurait tué plus de 10.000 personnes. 100000 militaires ont été dépêchés sur place.


L’actualité du samedi 12 mars

Samedi 12 mars - 10h15 : Des supers-pompiers et des militaires ont été dépêchés sur place.

Samedi 12 mars : La vidéo de l’explosion disponible sur le Net.

Samedi 12 mars : Selon la chaîne NHK , le toit du réacteur n°1 se serait effondré.

Samedi 12 mars : Sans qu’on ait plus de précisions pour le moment concernant l’effondrement d’un mur à la centrale nucléaire de Fukushima, et sur les causes et les suites de l’explosion entendue sur place, les télévisions nippones conseillent aux riverains de la centrale de se calfeutrer, rapporte l’AFP.

Samedi 12 mars - 8h30 : Une explosion aurait été entendue sur le site de la centrale nucléaire vers 8h30 heure française.

Samedi 12 mars : Les autorités ont lancé un appel aux populations vivant dans un périmètre de 10km à évacuer les lieux.

Samedi 12 mars : La compagnie d’électricité Tepco estime que le réacteur ne se trouve pas en "fusion", mais qu’il connaît des "problèmes de refroidissement".

Samedi 12 mars - 8h16 : L’agence de sécurité nucléaire affirme que le réacteur n°1 de la centrale de Fukushima 1 pourrait être en fusion. Le site se trouve à 250km au nord de Tokyo. Selon l’AFP, "l’alerte a été déclarée à la suite de niveaux de radioactivité enregistrés dépassant les niveaux autorisés dans la zone près de la centrale", explique l’AIEA.

Samedi 12 mars : La compagnie d’électricité Tokyo Electric Power (Tepco) a averti la population de risque de coupures de courant intempestives suite à l’arrêt des réacteurs de 2 centrales nucléaires endommagées par le séisme et ses répliques.


L’actualité du vendredi 11 mars

Vendredi 11 mars - 6h46 : un tremblement de terre, de magnitude 8,9 provoquant a secoué le Japon à 6h46 heure française provoquant un impressionnant tsunami. L’épicentre est situé près de la ville de Sendai au nord du pays.

- Video(1)


Sources

- Le site Internet de NHK

- Regarder la chaîne japonaise NHK en direct (en anglais)

- Les Communiqués de Tepco

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