L’organisation internationale People’s coalition on food sovereignty profite du sommet des peuples pour s’écouter et faire entendre sa voix. S’écouter, car comme le souligne un membre sénégalais : « Nous devons plus partager sur nos expériences entre pays asiatiques et pays africains, certaines problématiques sont les mêmes. » Au delà du plaisir évident qu’ils ont à se retrouver, les agriculteurs ou représentants associatifs ont en effet une vision commune, mais pas de stratégie partagée.