Le discours sur l’état de l’Union, rituel auquel doit se prêter chaque année le président américain afin d’exposer devant le Congrès ses ambitions pour les douze mois à venir, a rassuré les acteurs qui misent sur les technologies vertes et le marché du carbone, constate le New York Times.
Dans son tout premier discours sur l’état de l’Union, Barack Obama a en effet assuré que l’Amérique ne pourrait conserver son leadership économique mondial que si elle créait des emplois verts et investissait dans les énergies propres, la Chine, l’Inde ou l’Allemagne n’attendant pas le bon vouloir des Américains pour s’imposer sur ces marchés.
Selon Obama, ceci signifie que l’Amérique devra adopter une loi sur l’énergie et le climat qui permettra la mise en place d’une politique incitative promouvant les énergies propres. Barack Obama s’est dit prêt à user de son influence pour convaincre les sénateurs des États producteurs d’énergie fossile d’arriver à un compromis qui permettrait de créer un marché national d’émissions de gaz à effets de serre.
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