Réduire les émissions de CO2 pour protéger la planète ? Une absurdité. Sachez-le, "des niveaux plus importants de CO2 aident l’écosystème de la Terre" et soutiendraient "la vie des plantes et des animaux". Stop ! Arrêtons-nous là. Le message n’est (évidemment) pas signé Terra eco mais provient d’une pub diffusée dans les États américains du Nouveau Mexique et du Montana et repérée par le site Care2. Et ce n’est pas une blague. La campagne, nommée "le CO2 est vert" est signée H. Leighton Stewart et Corbin J.Robertson Jr., deux patrons américains respectivement impliqués dans l’industrie pétrolière et le charbon. En investissant 1 million de dollars, les deux hommes espèrent inciter les Américains à faire pression sur leur sénateur afin de faire capoter la loi qui désigne le CO2 comme un agent de pollution. Et ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère. "Plus de CO2 pour une planète plus verte. Nous avons tous besoin de CO2", conclut la pub.
Les quotas ont la cote. Selon un sondage publié aujourd’hui par Le Figaro, 55% des diplômés de grandes écoles sont « favorables à la mise en place de quotas pour assurer la mixité au sein des conseils d’administration d’entreprises ». Mais ils n’ont toujours pas la faveur de 56% des hommes... "Au sein de cette population issue des grandes écoles, c’est une avancée. En 2002, une écrasante majorité aurait été contre", nuance Véronique Preaux-Cobti, la présidente de l’association Grandes écoles au féminin, qui a commandé l’étude. Pour Le Figaro, c’est le signe que le vent tourne. Les quotas sont "un mal nécessaire", estime Nadine Morano. Anne Lauvergeon, vient aussi de changer d’avis : après avoir souligné le "côté humiliant" des quotas, la patronne d’Areva s’apprête à distribuer 20% des postes de direction du groupe à des femmes. La question sera au centre de la concertation sur l’égalité professionnelle organisée par le gouvernement avec les partenaires sociaux à la mi-octobre.
Il s’appelle Chang Jiwen et fait figure de Brigitte Bardot chinois, le glamour en moins. Dans un pays où la protection des droits de l’homme est un vain mot, il a décidé de s’attaquer à ceux des animaux, raconte le site Petwellbeing.Chercheur à l’Académie des Sciences sociales, l’homme vient de publier sans soutien officiel un projet de loi de protection des animaux. Pendant deux mois, le texte sera soumis à consultation publique et si tout va bien, fera son entrée au Parlement, en mars. En matière de loi sur les animaux, la Chine n’est pas complètement vierge de réglementations. On trouve dans les placards une loi sur la quarantaine, ou encore sur la protection des animaux sauvages. Rien en revanche sur le bien être animal. Or c’est là tout l’intérêt du projet de Chang Jiwen, qui souhaite élever la torture animale au rang de crime. Plus question non plus de donner de la volaille vivante en pâture dans les zoos, comme c’est encore le cas aujourd’hui. A suivre.
Les gorilles qui twittent intriguent Mother Nature Network qui explique comment les réseaux sociaux américains facebook et twitter peuvent sauver la vie des gorilles d’Ouganda. La campagne « Friend a Gorilla » vous permet ainsi d’ajouter un gorille à votre liste d’amis (en échange d’une don de 1 dollar) et de suivre ses vas et vient grâce à un GPS fixé sur votre ami poilu.
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