Glaciers, températures, mégalopoles et couche d’ozone

Où irai-je passer mes vacances quand les températures du globe auront grimpé de 5 degrés ? Pour le savoir, je peux au choix jeter un oeil sur le dernier opus d’Elizabeth Tessier. Mais plus sérieusement, faire confiance à l’équipe internationale qui mène une recherche dans le nord du Groenland. Cette étude, nous raconte la revue Nature devrait permettre de mieux comprendre le climat de la période -130 000 et -115 000 avant J.-C, afin de mieux prévoir ce qui pourrait nous attendre dans les décennies à venir.

 L’article de Nature

Le plan des villes chinoises a été dessiné avec les pieds. C’est un peu le sentiment des internautes quand ils observent l’étalement de leurs métropoles sur Google Earth. Du coup, les commentaires pleuvent. Le plan de Pékin ? « Pas génial ». Celui de Shanghai ? « Trop désordonné ». Et Canton alors ? « Ses dessins géométriques ressemblent à ceux que feraient des enfants ». Même l’Afrique fait mieux, soulignent-il en prenant l’exemple de Mogadiscio et Addis-Abeba, « au plan parfaitement ordonné ». Ces réactions en chaîne ont elles aussi trouvé de l’écho. "Vas vivre en Afrique, les villes y sont plus structurées", etc. Pour vous faire une opinion par vous-même :

 L’article de Chinasmack

Dobeliou Bush à la retraite, l’EPA, l’agence américaine pour l’environnement, souhaite redoubler d’agressivité pour réduire la pollution à l’ozone constate le Houston Chronicle. L’EPA vient en effet d’annoncer son intention de renforcer les standards établis en 2008 alors que le Texan était au pouvoir (la teneur autorisée de l’ozone dans l’air étant de 75 parts par milliards en volume) car la communauté scientifique et les groupes de défense de l’environnement ne les jugent pas assez stricts. Selon le Houston Chronicle, la décision de l’EPA risque d’avoir un impact profond sur le Texas, État industriel par excellence, la ville de Houston notamment n’ayant jamais été en mesure de respecter les normes de pollution de l’air établies par Washington. Et de noter que même la Texas Commission on Environmental Quality, pourtant chargée de combattre le smog (constitué de particules fines et d’ozone) aux effets néfastes pour la santé, a tenté de faire pression sur l’EPA pour qu’elle ne renforce pas les normes en prenant pour prétexte la crise économique. Car nettoyer l’air coûte cher. La réponse des partisans de normes plus strictes ? Soigner les asthmatiques est encore plus coûteux. Un sujet d’actualité alors que l’Amérique débat du coût de son système de santé.