L’ozone, c’est bien en altitude, tout là-haut, pour nous protéger des rayons solaires. Mais quand le gaz s’immisce dans nos narines, c’est l’asthme qui en profite. Et pas seulement. Une équipe scientifique hispano-finlandaise vient de démontrer que l’ozone dégradait aussi les composés organiques volatils, produits par les plantes et qui nous permettent d’en ressentir le parfum. En cas de pic de pollution, adieu l’odeur des fleurs.
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