Ce titre bien vague cache un texte passionnant qui n’a qu’un défaut : être trop court ! L’auteur, anthropologue, y examine le rapport de divers peuples « primitifs » avec la faune et la flore. La distinction entre, d’un côté, les hommes, êtres de culture, et la nature sauvage n’a pas de sens pour les Indiens et Aborigènes : les animaux leur parlent en rêve ou coopèrent avec eux. On découvre aussi que notre « nature » n’a été inventée qu’au XVIIe siècle, et qu’elle n’est pas plus pertinente que les autres ! —
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