Alors que la réforme pour la rentrée 2016 cristallise toujours les oppositions malgré la publication du décret qui définit ses grands principes, quid de l’enseignement du développement durable ?
Les multinationales, modèles d’écologie et de social ? Les directeurs du développement durable de ces boîtes multimillionnaires en rêvent nuit et jour. Leur « révolution verte » se fait au rythme de la Bourse, des actionnaires et des clients. « Terra Economica » les a allongés sur le divan.
Au Kenya, au Nigéria et au Bénin, Cécile Renouard a ausculté les filiales de Total, Michelin, Lafarge et Unilever. Le verdict de ses travaux est sans appel : sur le terrain du développement durable, les multinationales peuvent mieux faire.
Suite à son portrait paru dans le dernier numéro de « Terra eco », Tristan Lecomte, pédégé d’Alter Eco, nous a adressé cette chronique. Selon lui, il faut se garder de toute suspicion vis-à-vis des personnes et des entreprises qui se mettent au « durable ».
Comment expliquer le réchauffement climatique en classe de sciences et vie de la terre ? Ou évoquer la déforestation dans un cours de géographie ? Un portail propose gratuitement aux élèves et aux enseignants des ressources pédagogiques sur le développement durable.
Trois étudiants d’Audencia (ESC Nantes) se sont lancés depuis le 2 juin dans un road trip peu ordinaire : un tour de France à la découverte des multiples facettes du développement durable. Une aventure de 30 jours afin de présenter 30 initiatives qui œuvrent en faveur de l’environnement.
Donner du sens à son boulot : des milliers d’étudiants en rêvent. Ça tombe bien, l’essor du développement durable apporte son lot d’emplois nouveaux. Voici, issu du guide « 100 métiers d’avenir » publié par « Terra eco », comment éviter les pièges.
Petite réflexion sur la "semaine sans voiture" proposée par Terra Eco.
Depuis des mois, la crise grecque est l’épicentre d’un séisme économique dont les secousses ne semblent devoir ne jamais s’arrêter. Les pompiers des gouvernements et des instances internationales ne cessent d’aller d’un foyer à un autre. Mais chaque mois qui passe voit les brasiers d’incendies se multiplier. Et l’impuissance publique alimente la colère des peuples. Comment comprendre une crise rendue de plus en plus inquiétante par sa vigueur et par ses singularités ?
Depuis maintenant deux ans et demi, le site fiscalité environnementale-innovation politique explore les solutions possibles à nos crises économiques et écologiques. Avec plus de deux cent articles, il prospecte toutes les pistes possibles pour inventer des issues concrètes à nos problèmes. L’auteur en est convaincu : la fiscalité peut être un des instruments les plus efficaces pour mener des politiques volontaristes. Or, de nombreux lecteurs réagissent avec violence à l’idée de taxation : les impôts ont toujours été impopulaires. C’est pourtant une composante essentielle de notre vie en société.
La très grande majorité des observateurs de l’énorme crise que nous vivons en direct, ont une analyse exclusivement financière : la crise est purement économique. Dans cet article, nous voulons expliquer que cette crise a d’autres origines : la crise puise ses racines dans une crise écologique mondiale, crise invisible encore car elle est en train de naître.
Suite à la sortie du classement annuel des pays les plus compétitifs, édité par le Forum Économique Mondial, nous pouvions lire ou entendre ce matin dans les médias des titres tels que : "Compétitivité : la Suisse caracole en tête, la France perd du terrain" (Les Echos), "Compétitivité : l’Allemagne distance toujours plus la France" (Le Monde) ou encore "Compétitivité : la France perd du terrain" (France Inter). Décryptage, à la lumière de la compétitivité "durable".
Douce conséquence de l’exaltation scientifique de la rentrée (oui oui), une publication nous apporte quelques éléments nouveaux quant à la mesure de la soutenabilité des territoires.
En ces temps pré-électorales, le débat actuel autour du concept de démondialisation mérite attention. Lancé par la parution du livre de Jacques Sapir et relayé par de nombreux intellectuels, l’idée fait son chemin mais se heurte à d’énormes difficultés.