La carte des terres achetées par des investisseurs étrangers depuis 2000 montre que le business de la parcelle frappe avant tout l’Afrique.
Fermez les yeux et regardez. Notre pays n’est plus un champion de l’atome et ne dépense plus des milliards en hydrocarbures. Non, il fait désormais confiance à ses habitants et les laisse décider localement des sources d’énergie les mieux adaptées à leur territoire. Et ça marche. Le songe d’une nuit d’été ? Et si c’était vrai ?
L’infographiste américain Tim De Chant rend visible grâce à ses cartes le caractère insoutenable de nos modes de vie.
Des terres rares à l’uranium, du cobalt au platine, certains produits indispensables à l’économie mondiale sont concentrés dans quelques pays. Cette rareté - susceptible de devenir pénurie - entraîne une féroce compétition.
Dimanche 17 juin, les Grecs retournent aux urnes. Et pourraient par leur vote faire sortir leur pays de la zone euro. Le point en 3 scénarios.
1972 : L’ONU crée pour la première fois un programme pour l’environnement. 1980 : On parle de développement durable. 2005 : le protocole de Kyoto entre en action. A la veille de Rio +20, retour sur quarante ans d’histoire.
Le prix de l’essence bat des records, pourtant notre budget carburant est en baisse et nous roulons toujours autant. « Terra eco » a sorti la calculette et les tableaux Excel pour comprendre ce paradoxe.
La plateforme qui fuit depuis dimanche était le laboratoire et la vitrine de Total pour l’exploitation des hydrocarbures en grande profondeur. Mais des fuites avaient déjà entaché la production.
Un économiste américain a réalisé un graphique montrant que la mobilité sociale risque de décroître aux États-Unis. En sortant la calculette, on peut étendre cette crainte à de nombreux autres pays, dont la France.
Retrouvez toute la semaine dans cette chronique les moments les plus forts du 125e bouclage de votre magazine préféré.