C’est en tout cas l’objectif d’une étude menée par le département industrie et investissement du New South Wales, reprise par le quotidien britannique The Times. 12% des émissions de gaz à effet de serre australienne proviennent de l’agriculture. Tandis que 70% de ces dernières sont dues au méthane rejeté par les animaux. Mais, contrairement à ce que l’on croyait jusque là, ce ne sont pas les pets mais les rots qui sont à blâmer, soulignent les scientifiques. En testant plus de 200 espèces différentes, ils espèrent découvrir un gène responsable de ces émissions et donc mettre au point une race moins éructante.
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