Compte-t-elle un tel lectorat ? En tout cas, la pensée écolo anticapitaliste donne lieu à d’innombrables essais, comme L’impossible capitalisme vert de Daniel Tanuro ou comme Le temps du monde fini de Geneviève Azam. Tous appellent à ne pas se laisser berner par la « croissance verte ». Ces auteurs défendent l’idée que, sous des atours attrayants, ce serait la « pensée néolibérale » qui continuerait à faire des ravages. Leur gros défaut : noyer les – rares – propositions intéressantes sous des montagnes de choses déjà lues et d’anathèmes simplistes. Prenez-nous un peu au sérieux pour changer le monde ! —
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