Le sac

Bonjour et merci pour vos messages,

Décidement les emballages sont bien mis à mal dans cette approche !
La solution la plus propre et la moins chère niveau emballages c’est encore d’apprendre à s’en passer !

La notion d’ empreinte écologique et d’éthique prend alors toute sa mesure, malheureusement vu l’immobilisme des Français, il faudra longtemps pour rendre les consommateurs responsables. Quand votre supermarché verra qu’il ne vend plus de sacs il arrêtera peut-être d’en proposer !

Actuellement si des solutions en bioplastiques ou en fibres végétales ont été utilisées, c’est bien grâce à leur faible coût.
Mais les matières d’origine pétrochimique ou encore végétale (2 secteurs en crise : pétrole et agriculture/OGMs) n’apportent pas de solution à empreinte écologique acceptable. La filière non OGM existe ; cependant pour des sacs en matière végétale, cet usage fait monter le cours des céréales qui sont destinées à l’alimentation (celui du maïs, déjà très élevé) ; c’est vraiment très risqué, et déjà dénué de sens au regard des méfaits de la mondialisation.

Une autre ressource non OGM est pourtant à notre portée de mains.
La France exploite des forêts gérées durablement (cf agroforesterie et biodiversité), et sait transformer ces fibres végétales ;
Qu’est ce qui nous empêche d’exploiter ces avantages ?

L’engagement du consommateur, c’est donc le prix de ce choix.

Finalement, le véritable problème revient à éduquer le consommateur pour qu’il se tourne indépendamment vers des solutions low-cost écologiques. C’est une question de politique de prix, l’Etat et les grands industriels se sont bien entendus à ce sujet.

Allez donc faire vos courses à l’ AMAP (www.reseau-amap.org) de votre village, avec votre bon vieux panier en osier ou sac en tissu ; vous aurez fait de loin un bien meilleur choix, et donné un peu de bon sens à votre approvisionnement alimentaire. En plus vous aurez de bons produits frais, et de saison.
Serait-ce trop vous demander ?

28.01 à 20h33 - Répondre - Alerter

Le gros problème aujourd’hui c’est qu’on ne sait pas comment passer de la sensibilisation au changement de comportement. Le changement de comportement se fait par l’éducation et donc avec les nouvelles générations. Mais aujourd’hui nous n’avons plus le temps d’attendre et le moyen le plus efficace c’est le porte monnaie. Le sac plastique n’est qu’un exemple parmi tant d’autres !

27.04 à 12h10 - Répondre - Alerter

Les gens sont des ânes !

Je suis commercant (tabac Presse) et suis obligé de donner des sacs aux clients car ces derniers me les réclament avec insistance.

A noter pourtant que ces derniers peuvent parfaitement prendre les articles à la main ou dans la poche de leur manteau, puisqu’il s’agit dans 80% des cas de 2 paquets de cigarettes ou 1 à 2 revues...

Le fait de leur dire que je n’en ai plus... ou avoir l’audace de leur faire remarquer que ce dernier n’est peut etre pas d’une grande utilité puisque leur voiture est garé à 5 metres n’a aucun effet, si ce n’est celui de les faire "fuir" chez un concurrent moins sensibleà cette problematique.

En clair, il est parfaitement illusoire de parler de prise de conscience écologique tant l’ecart entre ce qui est dit et ce qui est fait par chacun est grand.

Seul une veritable catastrophe nous fera reagir, et encore ! car plutot que de reflechir alors à notre responsabilité, on cherchera bien evidement un coupable.... loin de nous bien evidement.... tient les chinois.. pourquoi pas les chinois.. ils ont bon dos, et on a deja commencé à les charger.

31.03 à 10h32 - Répondre - Alerter

Bonjour à toutes et à tous,

Du côté des faîts :
1°Les sacs de sortie de caisse sont réalisés à l’aide de polyéthylène (PE)
2°L’incinération d’un sac constitué uniquement de ce polymère ne dégage que de l’eau et du gaz carbonique
3°"Le sac PE jetable se situe donc plutôt mieux que les sacs papier et biodégradable sur la plupart des indicateurs, sauf pour le risque par abandon qui est la principale faiblesse de ce sac (surtout en zones littorales, proches du milieu marin)." (Cf étude en lien dans l’article). Le danger qu’il représente est plus lié l’utilisation qui en est faite qu’à la nature de sa composition si on le compare au papier et aux sacs issus de l’agriculture.
4°Toujours selon l’étude : "Au-delà d’un certain nombre de réutilisations, le cabas PE réutilisable devient toujours meilleur que les sacs jetables étudiés. Ainsi, pour un nombre d’utilisations supérieur ou égal à 4, le cabas PE souple est meilleur que les sacs jetables étudiés, et ceci pour tous les indicateurs étudiés, ainsi que pour l’émission de dioxines." La meilleure alternative au sac PE jetable semble par conséquent être le cabas PE. Même matière, usage différent.

Du coté des supermarchés :
1°Le budget alloué aux sacs de sortie de caisse représentait l’un des postes les plus important des groupes de distribution (après les salaires)
2°Les sacs cabas que la plupart des supermarchés vendent ne sont pas plus écologiques qu’avant (réutilisation du PE ou Polypropylhène)
3°Les supermachés ayant abandonnés les sacs plastiques "pour raison écologique" ne distribuent pas moins de sacs PE (augmentation des ventes de petits sacs poubelles)
4°Les supermachés ayant abandonnés les sacs plastiques "pour raison écologique" n’utilisent, pour la plupart, pas de solutions alternatives type amidon de pomme de terre ou PE oxodégradable (plus cher)
5°Bien que les sacs distribués aient souvent un marquage signifiant qu’ils contribuent à la protection de l’environnement, leur composition n’a pas changée ou pire, comme dans le cas des sacs tissés avec lanières en tissus cousues, le recyclage est rendu plus difficile.

Autres informations utiles :
1°La masse de matière utilisée pour la fabrication des sacs plastiques en PE est minime par rapport à la consommation de PE totale (essentiellement porté par le marché des bouteilles plastiques).
2°Le PE représente 32% de l’utilisation des plastiques de toutes natures confondues.
3°En tout, 4% du pétrole extrait est utilisé pour la fabrication des polymères.

S’ils ne sont pas mis dans la nature par négligence, manque d’éducation ou parce que la région ne respecte pas la législation (française) en vigueur (décharge à ciel ouvert comme à Marseille), sachant que l ’objectif fixé par la loi de 1992 sur les déchets stipulait qu’à partir de juillet 2002, on ne pourrait mettre en décharge que les déchets « ultimes », les sacs en PE ne présentent pas un bilan plus catastrophique pour l’environnement que n’importe quelle autre solution.

Ce débat nécessite un minimum de lucidité, et force est de constater que les supermarchés ont peut-être globalement pris une bonne direction, mais ce n’est pas pour nos beaux yeux ou pour l’amour de leur planète. Et nous en faisont les frais sans que cela ai une véritable répercution positive sur l’environnement. Gagnant......Perdant

Sources : wikipédia, ADEME, éducation nationale, cité des sciences et bien d’autres encore...

Bonnes discussions...

22.11 à 00h13 - Répondre - Alerter

Vous savez quoi ??? LA SOLUTION ? NE PLUS FREQUENTER LES SUPER et HYPER MARCHES !!! Faire de la consommation intelligente ! Refuser les produits qui ont fait des milliers de kilomètres (par avions, bateaux, camions) et revenir à l’essentiel ! CELUI QUI A LE POUVOIR, C’EST LE CONSOMMATEUR !
Et le consommateur, c’est qui ? C’est moi, c’est vous ! D’autant que ces magasins ne servent pas à nous rendrent service, mais sont simplement des sociétés financières...
Donc le problème n’est pas le sac plastique, c’est le magasin !!!

DEVENEZ DES CONSOMMATEURS CONSCIENTS, c’est plus qu’urgent !

27.07 à 09h27 - Répondre - Alerter

Les sacs cabas réutilisables sont distribuées gratuitement par certaines municipalités , de toute façon c’est beaucoup plus facile de transporter les choses dans certains sacs réutilisables parfois à mettre en bandouliére que porter les sacs plastiques fragiles à bout de bras .
Pour les poubelles de petites tailles avec le recyclage les sacs transparents de fruits et légumes suffisent , je descends mes pots de yaourts en verre dans les cartons d’emballage et arrivé devant les poubelles sélectives je fait mon tri , ou alors je descends avec un sac plastique que je récupére pour servir de poubelle de cette maniére peu importe que ce sac soit souillé par quelques traces de yaourts .
L’interêt du sac jetable c’est en cas de produit qui peut suinter dans le cabas en tissu ( la viande par exemple ou le poisson ....) .
Cette foutue taxe de recyclage n’encourage pas les industriels à éviter les sur emballages en plastiques souvent non réutilisables .
Les sacs plastiques empoisonnent les animaux marins par etouffement tapissent le fond des riviéres dans certaines régions et causent diverses pollutions . le sac en plastique bio machin se dégrade physiquement , le résultat c’est que les petites piéces mécaniques stockées dans le sac se retrouvent éparpillées partout ( cas vécu ...) mais surtout le sac est-il vraiment sans toxicité ?
La France a un sacré retard au niveau recyclage , le tri sélectif n’existe pas encore partout .
Prés de Marseille il y a encore une décharge à ciel ouvert , la "solution" proposée ( imposée ) par nos politiques c’est l’incinérateur qui soit disant brule tout : produit chimique toxiques ( piles restes de peinture ou de détergent ) mélangé à des restes de plastiques ou de boites de conserves et pot en verre qui de toute façon ne bruleront pas .
C’est à chacun de nous de faire un effort pour diminuer ce gaspillage mais il faut aussi que les fabricants nous permettent de le faire

26.06 à 11h32 - Répondre - Alerter

Je suis pour l’ancien cabas de nos grand meres, ce bon vieux cabas qu’on utilise pendant des annees et des annees

14.05 à 03h39 - Répondre - Alerter

pourquoi tant polemiquer sur le sac, cela fait 10 ans que j utilise les deux memes sacs pour faire mes courses.
cela ne me pose aucun probleme.
J aimerai par contre que les industriels ne multiplient pas les emballages.
par exemple quand j achete des cereales en promotion pour le petit dejeuneril y a au moins trois emballages, un seul me suffirait !

14.05 à 02h59 - Répondre - Alerter

Leur nouveau systeme de sacs c’est bien mais pas super non . Tout ça ça a servit à des hypers à non plus payé des sacs mais gagné de l’argent en nous les faisant payé.

Et si les gens balancent n’importe quoi dans la nature, c’est pas la faute du sachet qui souvent finit comme sac poubelle, et qui ferait mieux alors d’etre recyclé lui comme son contenu. Est ce que l’on va interdire aussi les pneus ou les huiles de moteur car des salopards les balancent dans la nature une fois usés et que ça pollut ?!

Les memes enseignes qui hypocritement évoquent en france des soucis écologiques pour nous obliger à acheter leurs sacs, dans leurs hyper dans d’autres pays (nottament pays emergent) ils y distribuent des sachets à gogo sans se soucier de l’environnement, et en plus dans ces mêmes pays les sachets font des ravages et la population n’est en aucun cas sensibilisée ni par ces memes hypers ni par personnes !

Questions : Pourquoi ne pas promouvoir des vrais sacs à course solide et resisatant ?
Combien de personnes ramene le sac garantit à vie en lambeaux pour se le faire échanger et est ce que comparé à la grande quantité vendus et non échangés les hypers ne restent pas les grands gagnants ?
Combien de ces nouveaux sacs pas hyper resistant non plus finissent eux aussi dans la poubelle ?! Et n’équivaut -il pas alors vu leur matiere à autant de pollution !
Et pourquoi ne pas se consacrer plutot alors au traitement des déchets au lieu de faire des parades et accuser le pauvre sachet de salir les forets et les mers ?!

14.05 à 00h38 - Répondre - Alerter

L’ADEME qui a redigé en grande partie le rapport ne cesse de rappeler qu’on ne peut en tirer des conclusions générales du aux grandes limites de son étude, qu’elle précise à chaque sous-partie quasiment.

Les autres groupes qui ont réalisé cette étude insiste aussi sur le fait que c’est une étude très limitée qui ne doit pas être utilisé pour donner des règles générales sur les types de sacs.

J’ai du mal a voir le professionalisme de l’auteur de l’article la, il fournit des informations éronnées à partir d’un document qui non seulement n’arrête pas de prévenir le lecteur de pas déduire de l’étude une règle générale, mais qui en plus, si on la lie jusqu’au bout, présente le sac en papier comme étant le plus écologique si on considère l’utilisation comme sac poubelle après l’achat en hypermarché, chose que la plupart des gens font.

13.05 à 21h16 - Répondre - Alerter

de toute maniere le sac plastique est fait a partir de dechet petrolier, c’est peut etre le meilleur exemple de recyclage qu’on puisse avoir.. c’est carrouf est compagnie qui s’en mettent plein les poches.

8.05 à 17h15 - Répondre - Alerter

Premièrement, je suis pour les sacs en plastique distribués gratuitement par les supermarchés : après les courses, je les utilise pour transporter mon déjeuner pendant une ou 2 semaines ensuite je les recycle en poubelle. Depuis qu’on veut les supprimer, j’achète des sacs poubelle (en plastique) et des sacs (en plastique) pour porter mon repas. Donc 3 fois plus de sacs dans la nature.

Deuxièmement, si les supermarchés veulent à tout prix nous faire payer les sacs, pourquoi des sacs si gros ? Je suis petite et je n’ai pas beaucoup de force, 2 bouteilles et le sac est plein quelle que soit sa taille. Par contre le sac tape sur les marches puisqu’elle touche presque par terre.

8.05 à 16h24 - Répondre - Alerter

On parle des sacs plastiques, mais quand vous rentrez du supermarché, combien de kilos de plastique ramenez-vous et qui va finir directement à la poubelle sous 2 jours ?

Ce plastique ou assimilé (bouteille en PET et pot de yaourth par exemple,) ne sert que pour l’emballage et le transport. Chaque morceau de plastique à un coût en matière première et en énergie pour le fabriquer. En fait, ces emballages sont presque fabriqués pour être jeter ...

Pour améliorer les choses, deux points principaux doivent regrouper nos efforts :

1. Les fabriquants doivent faire un effort pour reduire l’usage du plastique qui pour l’instant n’a pas trouvé de remplaçant. Par exemple, Danone à réussi à économiser 140 Tonnes de plastique par an en réduivant de quelques micron l’épaisseur de certains pots de yaourth.

2. Le récylcage : le recyclage du plastique est enfantin. Il suffit de le rechauffé, et on refait un film plastique d’emballage sans avoir à utiliser de matière première et en utilisant jusque un peu d’életricité.
Les chinois l’ont bien compris. Ils ont effectivement bien compris qu’en venant acheter en Europe et aux US les poubelles triées, ils avaient une mime de plastique pas cher sans avoir à dévelloper toute une industrie pétro-chimique couteuse et longue à mettre en place. C’est fantastique, on leur vend pour presque rien le moyen de produire pas cher ... On est fou, mais eux sont malins.

Alors, comme le plastique n’a toujours pas de remplaçant, faisons un petit effort pour le revaloriser. Le plastique est lui même une matière première.

8.05 à 15h16 - Répondre - Alerter

je me demande toujours exactement quelle est l’impact réel de la pollution par les sacs plastique, à part une gêne visuelle certaine ; ce n’est pas beau d’en voir accrochés aux arbres. De là à dire que c’est destructeur pour la nature, c’est un peu fort, et je crois que les cas d’animaux qui meurent pour avoir approché un sac sont assez marginaux.

Je crois aussi plus à l’intérêt économique, qu’à l’écologie. De plus, comme beaucoup d’autres, j’utilise les sacs de supermarché comme sac poubelle ensuite, ce qui fait que je n’achète jamais de sacs poubelle (qui si je ne me trompe pas sont aussi en plastique). Si on parle d’écologie, il faut plutôt se demander quel est l’impact réel des substances représentant réellement un danger pour l’environnement, comme les engrais et pesticides, le lisier... mais l’agriculture, c’est sacré !

8.05 à 09h38 - Répondre - Alerter

solution : porter vous achats dans des sacs (20, 30, 44 !!) faites en fibres natureles (comme le coton), les avoir toujours chez nous, dans notres voitures, backpack, vélos, poches et principalment dans notres têtes. ah ! et ça marche aussi pour les sacs transparents placés prés des fruits et légumes, faites les vous mêmes (ou demander á un couturier) en materiel plus transparents ! bouef !
On doit se questioner sur les choses faciles, le plus facile n’est toujours le plus agreable ou pratique !

Amener nos sacs de hemp avec nous ça semble demodé, mais attention aux entreprises qui nos ont mis cette ideé dans nos têtes, un seul monde pour autant de gens hipocrites et carrés ça ne ira pas finir bien, bien sûr !

(je ne suis pas français, alors pardonnez-moi !!!)

8.05 à 05h38 - Répondre - Alerter

Ah, le nettoyage de printemps... On ouvre les fenêtres, on trie les placards, on jette ou on garde ("ça pourra servir"). Et puis on tombe sur l’amas de sacs plastiques, le coin fourre-tout que l’on utilise pour porter les trois kilos de tomates du jardin à la voisine, ou tout simplement pour la poubelle de la cuisine. Sur un sondage réalisé auprès 44 sacs au fond de mon placard, 8 ont une grandeur digne des trois kilos de tomates, 16 peuvent servir dignement de poubelle, enfin, et malheureusement, 20 ne peuvent accéder à une telle célébrité. Trop petits, ils n’accueillent même pas un livre de poche. C’est, par exemple, à la mercerie ou à la pharmacie que l’on a reçu ce cadeau mortel pour notre Grande Bleue. Il ne reste plus qu’à se promettre, dorénavant, de les refuser... Mais que faire des 20 déjà acquis ?

11.03 à 21h08 - Répondre - Alerter

Les supermarchés et hypermarchés ont réussi, en quelques années, à nous faire payer les sacs plastiques, sous couvert de mesure écologique. Au départ ils représentent naturellement un cout pour les supermarchés, qui ont donc commencé par les supprimer, pour ensuite les proposer de nouveau mais en version payante. Comme de toute façon personne ne peut rentrer chez soi avec ses courses entre les mains, le consommateur doit désormais payer pour avoir ce qu’il avait gratuitement auparavant. y-a-t-il moins de sacs plastiques qui finissent dans la nature pour autant ? ou plutôt, la réutilisation des sacs s’est-elle généralisée ? Je ne le crois pas.

17.01 à 13h09 - Répondre - Alerter

Petit exemple taiwanais de la gestion des sacs plastiques : ils ont tout simplement été interdits depuis déjà quatre ans à Formose. Les supermarchés, les boulangeries etc ... ne donnent plus de "pochon" à leurs clients. Chacun doit revenir au bon panier en paille du bon vieux temps. Des sacs biodégradables ou en papier sont disponibles mais payants (comme chez Leclerc en France).

Impossible également d’acheter des sacs poubelles standard comme en France. Il faut acheter des sacs spécifiques, fabriqués par le gouvernement et dont 80% du prix est une taxe qui sert à financer le recyclage des anciens sacs plastiques et à payer le service de ramassage des ordures. Et attention aux tricheurs ! si vos déchêts ne sont pas empaquetés dans ces sacs gouvernementaux, les éboueurs ne prennent pas vos ordures et vous font payer une amende !

Peut-être une idée dont on peut s’inspirer ?

3.10 à 15h32 - Répondre - Alerter

Bravo pour votre article
Quelques précisions
les sacs biodegradables dont vous parlez sont ceux a base d’amidon de mais dont l’ecobilan commme vous le précisez est tres négatif
il existe aujourd’hui des sacs en polyéthylène additivé biodégradable qui cumulent les performances des uns et des autres et dont les performances sont reconnus par 6 centres de recherche sur les polyméres italie , 2angleterre,france,suede contrairement à ce qui est dit ici et la .
il ne largue que tres peu de co2 dans l’atmosphere contrairement aux autres produits et se décomposent en enfouissement participant à un stockage du co2 émis dans la terre au bénefice des plantes .Sans métaux lourd et de qualité alimentaire . test en ligne sur le site par des labos de référence

Dans tous les cas message :ne jetez pas les sacs memes biodégradables
merci a votre disposition
PM

Voir en ligne : les sacs biodégradables

30.09 à 08h37 - Répondre - Alerter