De ce roman écolo joliment troussé, on retient surtout une belle figure du mal : elle s’appelle Elle. Cette ancienne actrice devenue pédégée, toute de blanc vêtue et salement ridée sous le mascara, dirige ICECAP, une entreprise qui entend profiter du réchauffement climatique pour piller les ressources de l’Arctique. Notre héroïne est très décomplexée vis-à-vis des autochtones à manipuler, des bébêtes à dézinguer et de tout ce que son petit business nécessite. Elle, dans sa laideur avide, c’est nous. Et ça se termine mal. —
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