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24 novembre 2015, par Amélie Mougey
Ils s’approchent mais ne se touchent pas, formant des labyrinthes de lumière entre leurs branches. Francis Hallé, botaniste et amoureux des arbres, raconte cette singularité végétale.
Francis Hallé : « Ce phénomène intéresse une centaine d’espèces dans le monde. Toutes ont pour point commun de pousser en hauteur. En France, on peut observer une timidité chez les pins parasol du cap d’Antibes ou les chênes verts du midi. Dans les tropiques, c’est un peu plus fréquent. La timidité la plus impressionnante, (...)