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29 décembre 2014, par Anne-Claire Gras
Depuis quatorze ans, la directrice de l’association Las Libres combat les violences et injustices faites aux femmes. Et l’immobilisme de l’Etat.
Surplombant les ruelles escarpées et les monuments coloniaux de Guanajuato, à l’ombre de jacarandas aux fleurs mauves, le siège de l’association mexicaine Las Libres (« les femmes libres ») ressemble à un havre de tranquillité. Pourtant, à l’intérieur, ça bouillonne. Verónica Cruz Sánchez, la directrice, enchaîne coups de fil et réunions. Elle et son équipe (...)