publicité
haut
Accueil du site > Actu > Mobilités > On a passé à la calculette… le « vol vert » d’Air France
Mobilités

On a passé à la calculette… le « vol vert » d’Air France

<-  Retour à l'article

Le cahier recyclé, l’ampoule écolo, la voiture électrique, vous connaissiez. Mais pas encore la recette pour prendre l’avion sans plomber votre ardoise environnementale. C’est là qu’Air France dégaine son « vol vert ». Grosso modo, un pilotage tout doux pour une consommation mini. Mais la mesure permettra-t-elle de baisser les émissions d’un secteur voué à croître ? C’est le moment de sortir la calculette de « Terra eco ».

9 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • Bonjour,

    J’aime bien votre conclusion qui vise à rappeler qu’il faudrait peut être moins gaspiller l’énergie. En revanche votre raisonnement ne va pas dans le bon sens, car ce vol vert démontre que la consommation des avions peut diminuer en optimisant encore leur utilisation ; et je ne pense pas qu’une économie de l’ordre de 5% soit négligeable.

    Note :
    Sur http://www.dgac.fr/eco-calculateur/..., vous trouverez un calculateur d’émission de CO2 qui vous permettra d’utiliser des chiffres un peu plus réalistes ( le 890t est quatre fois trop important).

    Salutations !

    13.04 à 23h59 - Répondre - Alerter
  • merci pour cet article.
    Air France a donc enfin découvert la conduite économe. Et nous, est-ce que nous la pratiquons ? Où trouver des repères pour savoir les pratiques vraiment efficaces, la vitesse de croisière du véhicule, les bons couples (à combien de tours/minutes changer de vitesse dans ma voiture - je n’ai pas l’impression que ce soit pareil pour toutes les voitures et toutes les vitesses), etc.,
    Revenons à Air France, j’aurais aimé que l’article me dise : cela économise tant % de kérosène par vol et allonge la durée de vol de tant de minutes. Et sur les "courts trajets", est-ce que ça joue plus ou moins que sur les longs courriers ? etc.
    A bientôt donc pour un prochain article... et / ou des références car j’imagine que la conduite économe est bien expliquée dans des livres, revues ou manuels ?

    14.04 à 09h27 - Répondre - Alerter
  • otaner : moins voyager

    Voyager moins loin ,mieux connaitre son pays et l’Europe. A terme nous y serons contraints alors ne vaudrait il pas mieux apprendre aux gens à prendre des vacances différemment ,ce serait sûrement moins hypocrite ,plutôt que de chercher des solutions inefficaces.En outre la facture carbone est payée par tous,même ceux qui ne voyagent pas !...

    14.04 à 11h30 - Répondre - Alerter
    • Il y a souvent la même philosophie : on accuse une entreprise de polluer, mais les gens voyagent, donc prennent l’avion ! Cela est vrai dans tous les domaines de l’économie ! Je suis moi-même plus spécialiste du fast-food, mais votre raisonnement est tout à fait logique...
      Il y a dans notre pays quantité de coins magnifiques (rien qu’en Alsace où je vis ou en Franche-Comté proche) et je n’ai pas encore vu le quart de la moitié du tiers de la France ! Et si on élargit à l’Europe (un bonheur, cet InterRail !), alors là ! Des côtes de Norvège aux volcans du Sud de l’Italie (ou d’Islande, qui ont la bonne idée de clouer les avions au sol et de faire redécouvrir les joies du bus et du train), du Ryneck de Cracovie aux Iles Aran, de Lisbonne l’Océanique à Helsinki la verte, l’Europe est magnifique !
      Pas besoin d’aller se dorer la pilule dans les Antilles pour surtout ne pas sortir de son hotel pour découvrir le pays et ses habitants ! Je rencontrai un jour un gars qui avait fait tous les Club "mare nostrum". Je lui ai demandé s’il avait bien aimé voyager. "Oh, ben vous savez, vous avez toujours la même plage devant vous..."

      18.04 à 19h03 - Répondre - Alerter
  • pruneau_44 : reduire

    Une bonne solution pour réduire la CO² émis serait d’appliquer la TIPP sur le kérosène .... C’est sûr que le trafic devrait diminuer sensiblement .... et le CO² avec

    14.04 à 15h55 - Répondre - Alerter
  • Félicitations pour ce bon article. Par rapport à la conclusion et aux commentaires ci-dessus, il est effectivement important que chacun (citoyen ou entreprise) prenne sa responsabilité en se déplaçant de façon responsable mais il faut avouer que les avions low-costs ont tendance à favoriser l’avion même pour de petits trajets. C’est logique économique émane bien sûr d’une demande donc de nous, l’addition de nos besoins individuels. Alors prenons nos responsabilités et tentons de trouver une alternative plus responsable dès que cela est possible (train, le covoiturage, découvrir l’Europe plutôt que d’aller à l’autre bout du monde, etc.). Je sais que ces alternatives sont souvent plus onéreuses, malheureusement. Mais si vous pouvez le faire (argent et temps), tentez le coup. C’est comme pour lutter contre les grands centres commerciaux qui ne font que suivre la demande du client, essayons d’aller chez le commerçant du coin, à pieds ou à vélo !!!!!

    14.04 à 21h55 - Répondre - Alerter
  • N’oublions pas qu’une énorme part du trafic aérien n’est pas due aux touristes en recherche de soleil, mais aux businessman. Ceux là, business pour business, n’arrêteront pas de se déplacer. A la limite, ils réduiront, en utilisant les outils de télécommunication.

    Pour ces avions qui continueront de relier les continents entre eux en quelques heures, Air France permet au moins de polluer un tout petit peu moins. M’enfin, ca reste un coup marketing...

    15.04 à 09h58 - Répondre - Alerter
  • Qu’en est-il du kérosène non utilisé relâché dans l’air avant l’attérissage ?
    Les avions partent toujours avec plus de carburant qu’ils n’en n’ont besoin, afin de pouvoir aller plus loin ou de faire des ronds en attendant d’attérir si besoin est, et ce surplus est joyeusement relâché dans l’atmosphère avant l’attérissage, pour minimiser les risques d’incendie en cas de pépin à l’atttérissage.
    Si l’avion consomme moins, part-il avec la même quantité de carburant, ou avec une quantité réduite ? Si la quantité est la même, plus de kérosène non utilisé est donc relâché, quel est donc le bénéfice réel du "vol vert" ?

    16.04 à 12h25 - Répondre - Alerter
  • Je crains que le facteur 4 ne soit que le rapport 11/3, (44 /12... c à d 3,666, arrondi a 4), entre les masses moléculaire et atomique du CO2 et du C, puisqu’on compte les emssions soit en tonnes de CO2 , soit en tonnes de carbone !

    21.04 à 17h08 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas