Autonome et respectueuse de ses employés et de l’environnement, Pocheco est une entreprise atypique. Son patron, lui, est un visionnaire. Depuis vingt ans, à Forest-sur-Marque, dans le Nord, il œuvre a réaliser une utopie durable.
D’Emmanuel DRUON à Xavier BEULIN.. Un voyage entre le bien et le mal en quelque sorte. Merci à TERRA ECO de nous faire découvrir des personnalités attachantes... Et d’autres... Beaucoup moins !
C’est bien, mais surtout bien plus facile quand on est riche....et que papa t’offre une usine pour tes 32 ans. Une famille qui possède tout....
Et si on ajoute à tout ça des comptes non publiés. Un peu trop bling-bling pour être honnête.
Je trouve qu’il est des entreprises qu’il fait bon mettre en avant, ça met de bonne humeur et si tous les entrepreneurs héritiers de 32 ans étaient aussi clairvoyant, on serait peut-être tous de meilleure humeur :)
Merci pour votre message. Cependant, vous avez du lire trop vite mon article. Emmanuel Druon n’a pas hérité de Pocheco. Il a racheté l’entreprise en 2008. Il en était le dirigeant depuis plusieurs années, mais pas le propriétaire.
Même si ce dirigeant a hérité de l’entreprise familiale, qu’il a eu la chance de naitre au bon endroit quelque part, le principal, c’est ce qu’il en a fait, l’exemple qu’il donne aux autres. Arrêtez de critiquer, de mettre des bémols. Des comptes non publiés, bien sûr et c’est normal vu le statut de l’entreprise ! Merci Terraéco et Bonne continuation. Vincent, un insoumis.
Je pense qu’il a été possible qu’une usine d’enveloppes devienne un laboratoire d’écologie, d’économie et d’autonomie énergétique grâce à la ténacité, la détermination et la conviction profonde du dirigeant, de ses proches de sa famille, des équipes de collaborateurs (salariés associés) et aussi quelques personnes prêtes à croire financièrement à cette formidable expérience folle. Il est chouette de constater qu’il existe des personnes capables d avoir la capacité et l audace et la persévérance d aller jusqu’au bout de leur utopie et de pouvoir constater que cela fonctionne, et fonctionne plutôt bien, sur deux décennies, tout en respectant : les personnes, les lieux, et les ressources, le rendement. Le monde dans lequel nous vivons est rempli de ces expériences, elles sont nombreuses et il faut qu’elles soient mises en lumière pour que toutes les petites bougies solitaires qui brillent dans le noir puissent se rassembler et faire que se soit possible ensemble. C’est ainsi que la joie reviendra, il faudrait pouvoir avoir des espaces ouverts à tous sans clivage, ou les idées entreprenantes, les capitaux, l’utopie, les discussions constructives et innovantes puissent se réaliser et prendre place et ainsi recréer du lien, des passerelles, des emplois, des sourires et de la joie à nouveau....dans le respect de chacun et de la nature.
Comment une usine d’enveloppes est devenue un labo de l’économie circulaire