publicité
haut
Accueil du site > Actu > Énergie > L’avenir, c’est du vent
Énergie

L’avenir, c’est du vent

<-  Retour à l'article

Nuisance sonore et visuelle pour les uns, énergie du futur pour l’Union européenne. Bruxelles veut continuer de dominer les airs, que ce soit sur terre ou sur mer.

5 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • Je trouve assez léger le traitement des objections issues de la fédération vente de colère. POur un journal qui va d’habitude chercher derrière les apparences, il aurait là aussi fallu aller voir qui se cache derrière cette initiative et quels privilèges de l’énergie fossile et centralisée elle permet de maintenir. Au-delà de l’argument du prix de l’éolien qui ne serait pas supérieur au prix de l’électricité conventionnelle- de toute façon plus subventionné que le nucléaire, tu meurs- d’autres questions méritaient d’être posées, elles aussi : qu’est-ce qui défigure le plus le paysage des éoiliennes réduisant les émissons de GEs, ou une production délectricité qui menance l’avenir climatique... Ce n’ets pas juste le prix de marché qui est l’enjeu, mais aussi les emplois non délocalisables que cela peut générer, m^me si on est obligé d’importer les machines (on importe déjà le charbon et l’uranium, non ?)au moins, ce ne sont pas des importations qui viennent de dictatures et les gens qui les fabriquent sont payés correctement.D’ailleurs, en Espagne, la Navarre carbure à l’éolien et est presque autonome en énergie, elle va bientôt exporter de l’électricité..donc plutôt que de se demander maigemet quels sont les vrais défauts de l’éolin, il faudrait aussi penser au renouvellement du modèle économique caduque sur lequel repose la politique énergétique qui prévaut aujourd’hui encore en France... cette réflexion économique ets d’ailleurs l’objet de cette publication.
    bref, ça ménerve un article comme ça dans terra économica,qui par superficialté joue le jeu de dénigrement de solutions intéréssantes socialement, économiquement et écologiquement.
    Elsa G

    19.07 à 16h18 - Répondre - Alerter
    • Bonjour et merci de ces remarques,
      sachez que le "but" de l’article n’était en aucun cas de "dénigrer" l’éolien, mais de faire un état des lieux du développement de cette source d’énergie en Europe, à un moment où l’Union se focalise sur les énergies renouvelables. Il était donc normal de présenter à la fois les points de vue des pro et des anti éolien, dans un souci d’objectivité et d’information. Mais le propos de la rubrique "Alors l’Europe" est de rendre compte de ce qui bouge dans le cadre de l’Union, cet article n’avait donc pas pour intention d’analyser avantages et inconvénient de l’énergie éolienne - un dossier complet et beaucoup plus long serait nécessaire pour traiter ce sujet.
      Cordialement,
      Caroline Boudet

      23.07 à 12h12 - Répondre - Alerter
    • Vous avez raison, cet article est bien médiocre, mais pas pour les raisons que vous avancez. Il est de mauvaise qualité parce qu’il a visiblement été écrit par quelqu’un qui ne connait pas du tout le sujet et qui est allé chercher ici ou là des informations périmées et fausses. Par exemple il est faux de dire que la France occupe la 3e place en Europe derrière l’Allemagne et l’Espagne. Le Danemark nous devance depuis toujours et l’Italie est aussi devant nous. La France est donc 5e et non 3e. Par ailleurs il est ridicule de placer aujourd’hui l’Espagne à la 2e place mondiale. Cette place est occupée par les USA qui dépasseront l’Allemagne pour la première place en 2009 et peut-être même dès cette année.
      Je trouve l’argument "certes nous payons nos éoliennes à prix d’or, mais au moins nous les achetons à l’Allemagne,au Danemark et à l’Espagne qui sont des pays démocratiques" plutôt ridicule. Les deux premiers producteurs mondiaux d’uranium sont l’Australie et le Canada qui sont au moins aussi démocratique. Par ailleurs nous nous approvisionnons également au Niger qui n’est certes pas démocratique, mais qui est un pays sous-développé, ex colonie française, dont l’uranium est quasiment la seule resource. Participer au développement de ce pays très pauvre me semble plus utile que d’enrichir un peu plus notre voisin allemand en lui versant des devises et en créant des emplois chez lui et non chez nous.
      Par ailleurs extrèmement malhonnête d’écrire que les personnes qui critiquent l’achat par la France de grandes éoliennes sont forcément des partisans du nucléaire ou du pétrole. On peut largement autant soupçonner ceux qui défendent les monstres éoliens de 150 mètres de haut d’avoir des intérêts financiers et de faire partie d’un lobby qui fait fortune depuis trois ou quatre ans en vendant ces grands machins à des communes qui n’en ont nul besoin.
      Enfin ne perdons pas de vue que la durée de vie d’une éolienne est de vingt ans. La France est en train de gaspiller des milliards d’euros pour acheter à prix d’or des engins qui devront être démontés d’ici 2028 et qui auront produit des quantités assez ridicules d’électricité pendant cette période.
      Le seul pays au monde qui a choisi de mettre à fond le cap sur l’éolien c’est le Danemark. Résultat au bout de quinze ans, le kwh le plus cher d’Europe, plus de deux fois le prix français, et seulement 13% de la consommation assurée par ces milliers de grands machins pitoyables qui ont coûté plus de 10 milliards d’euros.
      Oui au petit éolien individuel, non aux éoliennes monstrueuses dont les tailles ne cessent d’augmenter. On parle de 200 mètre de haut pour très bientôt. N’oubliez pas que pour faire tenir debout ces immenses machins, il faut des milliers de tonnes de ciment et que la fabrication du ciment est l’un des plus importants facteurs de gaz à effet de serre.
      Par ailleurs vous devriez vous poser la question "pourquoi la deuxième puissance économique du monde, le Japon, qui n’a pratiquement aucune ressource naturelle, ne mise-t-il pas du tout sur l’éolien ?" Parce qu’il a compris que le photovotaîque a un grand avenir et l’éolien aucun.

      7.08 à 11h44 - Répondre - Alerter
      • Bravo .
        Tous les arguments que vous avancez sont censés , justes et parfaitement logiques par rapport à tous ceux qui ne réalisent pas ce que représente le fait simple et devenu inconscient d’appuyer sur un bouton pour s’éclairer , se laver, laver , essorer , sécher son linge , pour mettre un moteur en route pour faire marcher des machines qui prennent le travail des hommes et qui par une facilité d’acces apparente et trompeuse rend les humains tellement dépendants qu’il deviennent idiots et aveugles .
        Continuons à lutter c’est notre seule chance d’arréter la main mise des lobbys sur notre liberté de pensée et d’action c’est à dire notre vie .

        8.10 à 12h06 - Répondre - Alerter
  • Quand on sait que pour couvrir la totalité des besoins mondiaux en électricité avec les panneaux photovoltaïques, une surface de 145 000 km² serait suffisante dans les conditions européennes d’ensoleillement. Cette surface correspond à un carré de 380 km de côté, soit seulement 1,5% de la superficie de l’Europe (10,5 millions de km²). Pour l’éolien, la surface devrait être multipliée par un facteur 5. Mais il est plus difficile dans ce cas de mettre des éoliennes les unes à côté des autres !

    20.07 à 15h02 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas