L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

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Finir entre quatre planches (ou plutôt huit), c’est le lot commun des 540 000 Français qui décèdent chaque année. Un voyage pour l’éternité, pas toujours très respectueux de l’environnement.

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match : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

personne n’a encore rescussité parce qu’il a été enterré dans le cercueil même le plus cher qu’il soit alors pourquoi ne pas nous envelopper dans de beaux draps et nous envoyer aussi simplement auprès du saint pere ? polluer la nature à ce point , entre le bois de nos forêts et les vernis polluant pour les embellir et sans oublier la crémation,il y a de quoi se dire au fond du coeur " mourons et partons le coeur léger de ne pas, même à travers notre mort, détruire un peu plus la terre que nous laissons à nos descendants"

26.06 à 11h16 - Répondre - Alerter

: L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Suis bien d’accord, un drap suffirait. Lorsque l’on a la foi et que l’on aime une personne qui "s’en va", le côté "cérémonie" est dérisoire, ne sert à rien et ne change rien. Donc je serai d’accord pour faire voter une "loi" qui obligerait chaque personne à "partir" de la même facon. Cela éviterait la pollution (...) et serait d’autant plus juste ! Chacun nait de la même manière alors pourquoi ne pas partir aussi de façon égale .....

26.06 à 13h15 - Répondre - Alerter

b.chx : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

je pense que la crémation devrait etre faite en retirant le corps d’un cerceuil qui pourrait ainsi resservir, malheureusement je crois que peu de gens sont prêts à faire cela. peutêtre faudrait-il faire envisager ce choix pendant que l’on est encore en vie ainsi qu’on le fait pour le don d’organes.

26.06 à 13h42 - Répondre - Alerter

: L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Trés juste , et je serai trés satisfait que mon urne ne contienne que mes cendres, sans mélange . Je construis mon tombeau ,dans mon jardin , d’où je surveillerai les miens et les protègerai.Je ne veux pas aller dans un hlm horizontal .
Je refuse qu’il soit fait les frais d’un cercueil .Mon Urne suffira comme logement final. Une loi devrait nous permettre cela sans cependant le rendre obligatoire . Faire la sugestion au député du coin .

2.09 à 19h47 - Répondre - Alerter

zoidberg : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Désolé de jouer les rabats joie au pays des merveilles écolo mais pour des questions purement sanitaire on enterre pas à meme la terre ça parrait logique... Le temps de degradation du cerceuil permet aux gaz de s’echapper progressivement, sans ça il y aurait bcp plus de feux folets, d’affaissements de concessions et tout filtrerai directement dans le sol. De meme le coup de l’arbre, c’est bien gentil mais il faut arreter la naiveté, ya pas la place de planter un arbre au dessus de chaque tombe, et on n’a evidement pas le droit d’enterrer n’importe qui n’importe ou (il est meme interdit de disperser les cendres ailleurs qu’aux jardins du souvenir.

2.07 à 00h17 - Répondre - Alerter

Médecin ayant exercé dans 8 pays. : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Les rites funéraires font partie de la culture de son ethnie, de la religion de sa famille ou de ses rites animistes ! ! ! alors pourquoi des écolos veulent-ils bouleverser cette cérémonie, alors que leur comportement avec leur véhicule, leur chauffage, leur utilisation de l’eau, etc, etc n’est peut être pas un modèle !

2.07 à 22h43 - Répondre - Alerter

Pas un modèle d’accord, mais au moins, j’agis ! : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Pourquoi ? Simplement parce que les rites culturels ou religieux, quels qu’ils soient, ne sont pas gage de bon sens... même (et surtout !) si ça fait des siècles qu’ils sont d’usage.

D’autre part, l’écologie est une science naturelle qui étudie les interacions entre les êtres vivants et leur milieu... ça me semble être une autre bonne raison pour bousculer de trop vieilles habitudes !

Voir en ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89...

4.07 à 17h50 - Répondre - Alerter

: L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Le seul problème en Europe c’est que l’écologie est prise en otage par quelques organismes qui défendent becs et ongles "leur carré de valeurs" tout en ayant un regard ostensiblement réprobateur envers tous ceux qui parlent écologie et qui n’adhèrent pas aux idées politiques des différents noyaux. En France, être écologique, c’est d’abord avoir les cheveux longs, être mal rasé, porter des vétements déchirés, avoir une sensibilité d’extrème gauche et refuser toute forme de progrés....
Les "écologistes de salon" seraient bien avisé d’aller au Quebec pour voir comment nos cousins de la "Belle Province" parlent de l’environnement et agissent pour conserver leur patrimoine.
Pas de bla-bla ni d’affirmations péremptoires sur tel ou tel système ou dispositif, mais des analyses complètes afin de déterminer si l’innovation est vraiment pertinente en terme d’environnement.
Quant au cercueil, on ne peut tout de même pas tout remettre en question pour économiser du bois et je ne suis pas persuadé que supprimer les cercueils participent à cette économie. Depuis la nuit des temps l’hommes coupe les forêts et utilise le bois comme premier matériaux et ceci n’a pas entrainé la disparition des forêts !
Imaginez que pendant plusieurs millénaires des civilisations importantes nous ont précédés (Egyptiens, Romains, etc...) et qu’elles n’ont pas réussis à raser toutes les forêts de la planéte...

4.08 à 16h59 - Répondre - Alerter

Colibri : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

On pourrait croire que d’autres coûtumes sont plus écolos ; par exemple laisser les charognards manger les cadavres. Pourtant, c’est le cas en Inde pour je ne sais plus quelle religion, et ça pose de gros problèmes en ville ! :o)

17.09 à 09h27 - Répondre - Alerter

pittbuell : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

J’ai l’impression que cette forêt de chiffres et de statistiques sur la consommation de bois pour construire notre dernier costume, les considérations sur la toxicité potentielle des colles et vernis, de même que la notion d’énergie pour cette ultime chimie de la vie, ne représentent qu’un effort ecologique dérisoire comparé à notre effroyable environnement urbain quotidien. regardez vivre la ville du balcon d’un dixieme étage, ouvrez le placard dans lequel sont rangés vos produits d’entretien et pire asseyez vous devant un reportage sur les pays en cours d’epansion..... Où est le vrai problème ?
Quant aux considérations épidémiologiques êtes vous sûrs que nos poubelles soient mois dangereuses qu’un corps qui retourne lentement dans la boucle du carbone sous six pieds de terre ? Qu’en pensent les napolitains ?
Les technocrates bien pensants ont satisfait la bonne conscience collective en légiferant et en codifiant, par le fait, cet odieux commerce de la mort.
Alors si « liberté » sur notre terre de France veut encore dire quelque chose pourrait-on laisser à chacun le choix d’avoir la paix administrative avant la paix éternelle ? Merci du fond du ...cercueil !!!!

17.06 à 20h08 - Répondre - Alerter

Babelia : L’objet "qui tue" : cette semaine, le cercueil

Au lieu d’être objectif, cet article est particulièrement partisan. Rien ne nous empêche d’être écolo avec un cercueil en bois, qui est un matériau tout ce qu’il y a de plus naturel et biodégradable. Vous l’avez dit vous-même, tous les bois utilisés dans la fabrication, à l’exception de l’acajou, sont issus des forêts françaises. Or les forêts françaises sont TOUTES éco-gérées, et le territoire forestier progresse tous les ans en France. Quant aux vernis/colles, il en existe plein qui sont totalement biodégradables, il suffit de poser la question aux pompes funèbres. Les cercueils en bois écolo sont d’ailleurs loin d’être les plus chers dans le dernier catalogue que j’ai vu. La boîte à chaussure comme dernière demeure, très peu pour moi...

PS : le linceul est interdit pour des raisons sanitaires. Car notre corps peut polluer bien plus que le cercueil lui-même...

6.11 à 19h52 - Répondre - Alerter

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