L’objet "qui tue" : cette semaine, le feu d’artifice

Depuis le temps que je me posais la question de l’impact de cette cons(u)mmation...
J’avais cherché sur wikipedia mais rien !
Heureusement que vous êtes là !

18.07 à 14h42 - Répondre - Alerter

Bonjour,
Je viens de trouver ce message et je souhaite vivement y répondre. Les études Canadiennes auquelles vous faites allusions mentionnent effectivement una hausse importante du taux de particules poluantes en atmosphère lors du concour internationnal de pyrotechnie de Montréal, il a été établi que ces relevés ne prennent en compte qu’un état ephémère de l’atmosphère du à la direction du vent qui à dirigé les fumées de combustion directement sur les capteurs. Il est évident qu’un tel événement (le plus grand concour du monde) génère une hausse rapide de CO2 et de micro particules, tout comme un simple incendie, quand à leur impact à long terme sur l’environnement, elle n’a pas été analysée car trop infimme au regard des activités de combustion dites "Poluantes".
Quand vous donnez la composition des pièces d’artifices, prennez le soins de vous renseigner correctement, Charbon, soufre et salpêtre sont les compositions initiales de "la poudre noir" et non des pièces d’artifices de divertissement ; ce sont des composés qui existent en état naturel sans transformation chimique. Les fabricants de pyrotechnie de divertissement utilisent bien d’autre composés qui penvent etre poluants mais dont les proportions sont surveillées, l’envelopppe des produits elle aussi est en question, depuis ces 10 dernières années, les coques plastiques sont remplacées par des habillages papiers, cette profession est l’une des plus surveillée,chaque effet est soumis à un agreement d’un laboratoir d’état et les sites de fabrication et de sockage important en France sont classés SEVESO. Les feux d’artifices sont grands bruyants et spectaculaires, ce sont de fantastiques exutoirs publiques, et les recent progrès techniques et artistiques en font de véritables spectacles musicaux synchronisés, c’est aussi l’un de derniers spectacle gratuit,merci de ne pas vous faire le mauvais colporteur d’articles outre atlantique.

9.11 à 12h08 - Répondre - Alerter

Je viens de lire votre article, et je grimace un peu.
En effet je suis artificier professionnel, et pour la diminution de nos possibles nuisances sur l’environnement.
Je souhaite soulever quelques erreurs dans cet article, qui noircissent particulièrement le tableau,

Tout d’abord les prix unitaires des produits pyrotechniques que vous citez sont très fantaisistes et sur évalués. En divisant environ par dix ou douze fois les prix annoncés vous seriez dans la vérité. Je suis désolé de corriger ce qui peut donner l’impression d’une débauche d’argent passée par le feu.

Ensuite vous parlez de détonateurs qui seraient retrouvés dans la rivière : un détonateur est un élément explosif, très dangereux, et souvent d’une composition chimique évoluée. Nous n’utilisons absolument pas ce type de matériel. Nous utilisons des inflamateurs, qui sont basés sur le principe de l’allumette, ni plus ni moins.

Je tiens à souligner que nous sommes extrêmes surveillé (et c’est tant mieux) quant à nos déchets. Je n’ai encore jamais croisé une équipe en France qui ne ramasse pas ses déchets après le spectacle et ne les réinsère pas dans la boucle du recyclage, ne serait-ce déjà que pour leur image auprès de leur client, et aussi pour la seule fin économique des prix payés pour la collecte de nos déchets (cuivre, métaux, plastiques, etc.)

Concernant les produits à proprement dit, cela fait plus de 10 ans que les colles utilisées pour la fabrication des bombes et autre pièces d’artifice, sont non nocives pour l’homme et l’environnement (y compris quand elles brulent). De plus les fabricants reviennent à l’utilisation presqu’exclusive du papier et du carton, en remplacement des coques plastiques qui sont apparues dans les années 70, et ce, pour des raisons de développement durable.

Enfin je voudrait juste finir sur le procès que l’on nous fait sur notre "pollution via particules" lors de nos spectacles : j’aimerai beaucoup que l’on compare vraiment la rejection de particules du à un feux d’une vingtaine de minute, et celle d’une bonne grosse voiture pseudo 4x4 durant la même période sur un trajet routier. Les véhicules de ce type, bien lourds, avec de bon gros moteurs, en ville se sont multipliés ces dernières années. Ils roulent tous les jours plusieurs heures, partout, mais apparemment ça ne gène personne là... Alors je suis prêt à endosser les responsabilités de développement durable et d’écologie liée à mon métier. Mais j’aimerai aussi qu’on essai de hiérarchiser un peu nos priorités dans ce domaine. Cela fait quelques années que chaque été nous sommes la cible de ce type d’accusation. Cet été encore, j’ai lu un article incendiaire (sans mauvais jeu de mots) à propos de la pollution par particules émises par les feux d’artifices. Mais qu’en est-il aujourd’hui, dans ces mêmes villes, de la politique des journées sans voiture ? J’ai du mal à croire pourtant que ce soit comparable et terme de pollution par particules, non ?

19.12 à 15h44 - Répondre - Alerter

Les feux d’artifice c’est de la merde ! Qu’on en finisse et vite !

27.12 à 18h26 - Répondre - Alerter