Un milliard de piles, pour un poids total de 30 000 tonnes, ont été vendues en France en 2005. Que l’on s’en serve ou non, elles usent surtout l’environnement.
L’article référencé ci-dessus cite des éléments de source ADEME avec référence au rapport sobservatoire pile de l’ADEME avec un lien sur la synthèse.
Il est surprenant que l’article cite cette source alors qu’à aucun moment le document référencé ne dit que le recyclage coute 10 fois plus d’énergie que la fabrication et que 73% des piles accumulateurs et batteries finissent enfouies ou incinérées. Tout cumulé moins de 2% des produits ne sont pas recyclés. Et nous n’avons pas d’études qui montre que le recyclage soit plus couteux en énergie que la fabrication
Alain GELDRON
Chef du département Prévention Recyclage et Organisation des Filières
ADEME
Les accumulateurs du commerce ont une tension nominale de 1,2 V au lieu de 1,5 V pour les piles. Beaucoup d’appareils (transistors, balances,...) cessent de fonctionner quand la tension avoisine 1,2 volts, ce qui fait que la durée effective de fonctionnement avec des accus est d’ environ 1 heure ce qui est inadapté à l’ usage qu’ils prétendent remplir.
le gros problème est l’absence totale de batteries en remplacement de toutes les piles boutons qu’utilisent des tas d’appareils miniaturisés comme les montres, pendulettes, compte-minutes, prothèses audio, etc...
J’ai contacté Corepile en Août 2011 pour l’informer de mon invention qui permettra de réduire sensiblement le rejet des piles "usagées". Ils m’avaient répondu qu’ils n’étaient pas "concernés"(je résume) par mon invention. Cette denière ayant été primée (médaille de bronze) au concours Lépine 2012, je viens de les contacter à nouveau. A suivre..
Deux solutions pour éviter de gaspiller :
Acheter des piles rechargeables.
Avoir un testeur de piles, pour éviter de jeter des piles qui sont encore bonnes.
La pile