publicité
haut
Accueil du site > Blogs > Les blogs > innovation politique > Le jour où le plein de ma voiture me coûtera 200 euros
Innovation politique

Le jour où le plein de ma voiture me coûtera 200 euros

<-  Retour à l'article

L’arrivée du "peak oil", du pic pétrolier, celui où la demande excédent définitivement l’offre, ne saurait tarder. D’ic quelques années, malgré quelques tentatives de remplacement par les agrocarburants, nous allons être en manque de pétrole. Nous allons nous apercevoir en passant à la pompe : le prix du plein va monter atteignant 100 euros, puis dans les décennies à venir, deux cent puis trois cent euros.

Il nous faudra nous adapter et trouver des solutions. Récit imaginaire de ce qui pourrait se passer et inventaire des différentes solutions dans le domaine de la mobilité des personnes.

8 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • "Pour rester réaliste, les hypothèses formulées dans cette article s’appuie sur deux postulats"

    "S’appuient"

    Mais bon c’est pas grave.

    23.05 à 07h53 - Répondre - Alerter
  • Ceci ressemble surtout à une stratégie de constructeurs de voitures individuelles.
    C’est intéressant,

    Mes réflexions me poussent plus à une autre stratégie, parfaitement utopique, car plus solidaire dans son organisation.

    Développement des vélos électriques et formes proches - scooters, micro-voitures.
    développement des transports publiques gratuits, permettant d’éviter l’explosion du foncier qui coute très cher à toute l’économie.
    développement du télétravail et ou multiplications des mini-ateliers/bureaux de proximité, évitant les transports de plus 30 mn.
    pour les transports longs et lourds, les trains.
    Inutile de chercher, le train est fiable et peu cher à condition de ne pas trop lui en demander, c’est à dire de devenir un avion.

    En passant :
    Il existe une forme très peu couteuse de transport en agglomération, c’est le câble.
    Des cabines s’accrochant à un cable aérien.
    emprise au sol faible, sureté bien plus importante que le déplacement de surface, fiabilité, investissement très faible en regard des moyens actuels équivalent métro, tram, autobus, cout d’exploitation très faible.
    Une des solutions réalistes pour les agglomérations.

    23.05 à 09h15 - Répondre - Alerter
  • Article infondé et peu réaliste... Sans même parler des fautes d’orthographe qui le décrédibilisent grandement, voici quelques réflexions :

    1. Je ne pense pas que nous verrons le pétrole à 300 euros le litre. Pourquoi ?
    - les pétroles bitumeux et autres énergies fossiles non conventionnelles vont se développer. Les gens sont prêts à soutenir l’environnement, mais jusqu’à un certain point : leur confort personnel et leurs petites habitudes, qu’ils n’abandonneront pas. Sans parler du lobby ultrapuissant des compagnies pétrolières.
    - les réserves non exploitées aujourd’hui (Arabie Saoudite et certaines régions non explorées).

    2. En quoi le véhicule électrique est-il une solution ? D’où viendra l’électricité qui leur permettra d’avancer ? Si le développement des véhicules électriques ne va pas de pair avec le développement massif des énergies renouvelables, ça ne changera rien ni au problème des émissions de gaz à effet de serre, ni au coût de ces technologies : les prix du charbon, du gaz naturel et de l’uranium vont augmenter aussi... Or, en considérant l’hypothèse de départ (pas d’investissements publics massifs), on peut supposer qu’il n’y aura pas de développement des énergies renouvelables. Donc voiture électrique chère et polluante.

    Je pense donc effectivement qu’il y a d’autres scénarios et solutions plus réalistes que ceux proposés dans cet article. Pour moi, pour répondre au pic pétrolier et à la hausse du prix de l’essence :
    - développement massif des énergies renouvelables (créatrices d’emploi donc de croissance).
    - développement massif des transports en commun (pareil), en particulier dans les campagnes et banlieues mal desservies.
    - changement progressif des mentalités (point sur lequel je suis d’accord avec l’article) : prendre le train plutôt que l’avion, marcher, prendre le vélo, partir en vacances moins loin, éviter les déplacements inutiles ; dans les entreprises : développement des visioconférences et autres réunions à distance, surveillance des trajets inutiles des cadres...

    Malheureusement pour tout cela il faudrait des politiques courageux (interdiction des gaz de schiste, politiques d’aides au développement massif des énergies renouvelables, taxation écologique intelligente, éducation...), pas pourris par les lobbys pétroliers, et convaincus de la nécessité de changer tout ça...

    23.05 à 09h45 - Répondre - Alerter
    • Pour l’orthographe, je ne suis pas parfait mais cela n’a rien à voir avec la crédibilité. Et puis, seul ceux qui écrivent en font !
      Ceci dit, je suis d’accord : il faut des politiques publiques volontaristes, utiliser les ENR et revoir les systèmes de transport. C’est ce que je préconise sur mon site où je réfléchit depuis 5 ans aux démarches réalistes pour trouver des solutions. http://www.fiscalite-environnementa...
      Concernant les pétroles bitumeux et autres énergies fossiles : c’est un matelas qui va limiter le peak oil mais pas faire disparaître ses effets. Pas d’illusions là-dessus !

      23.05 à 21h29 - Répondre - Alerter
  • Article idiot. Le prix n’atteindra jamais ces sommets, parce qu’à ce niveau là, 80 % des emplois sont perdus.
    On repasse immédiatement au local (à pied ou au maxi, en vélo) pour tout. Se déplacer devient le cadet des souçis, le principal étant de manger.
    Comme la bouffe, c’est du pétrole, la société, à ces niveaux de prix, a disparu, une autre s’est reconstituée.
    C’est le moyen-âge, avec une réduction de la population des 2/3.

    23.05 à 17h13 - Répondre - Alerter
    • Merci pour ce commentaire super positif : autant se suicider tout de suite !
      Certes, le peak oil aura aussi des conséquences économiques graves que je n’ai pas traité dans cet article : il faut envisager des solutions tant qu’il est encore temps. Ceci dit, tout dépendra aussi de la rapidité de la montée des prix.

      23.05 à 21h24 - Répondre - Alerter
  • La solution des taxis collectifs existe déjà depuis bien longtemps...dans les pays pauvres !! (Afrique par exemple). A chacun d’en faire les déductions qu’il veut !

    24.05 à 09h29 - Répondre - Alerter
  • C’est étonnant car il n’a pas été fait mention de l’idée de "déménager" plus près de son lieux de travail (ou de changer de travail dans le même but), ni même les solutions que sont le vélo ou la marche à pied.

    Les néerlandais font plus de 50% de leurs déplacements en vélo tandis qu’en France, moins de 10% de nos déplacements se font ainsi...

    Axel

    26.05 à 08h24 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas