Une idée que des français chérissent depuis de nombreuses années, et notamment Jean-François Daviau avec son projet Sabella - http://bit.ly/hk6stv
Mais les politiques publiques n’étant pas vraiment les mêmes de part et d’autre de la Manche, nous restons des nains sur cette technologie par rapport à l’Ecosse, qui elle a fait le paris des énergies diversifiées, décarbonées, déconcentrées.
Il nous reste un formidable gisement de côtes pour nous rattraper, maintenant. Sans oublier que cette énergie peut aussi être stockée localement (par exemple sur une île), via des mécanismes robustes de pompage-turbinage.
Vu la vitesse très lente de rotation des hydroliennes (on cherche le couple maximal, la fréquence est de quelques rotations par minute. Aux Etats-Unis, une étude d’impact détaillée (fish Survival Study on Hydrokinetic Power Turbine) menée en 2009, a montré la sécurité du procédé. Elle est déposée à la Federal Energy Regulatory Commission (USA).
Ecosse : des îles troquent le nucléaire pour l’énergie marine