Biodiversité : vers le point de non-retour

Le communiqué de l’ONU dit aussi ceci :
« Parmi les éléments pouvant être inclus dans une stratégie future destinée à réduire cette perte de biodiversité et éviter les pires conséquences (...) figurent entre autres (...) une efficacité accrue dans l’utilisation des terres, de l’énergie, de l’eau douce et des matériaux afin de satisfaire la demande grandissante provenant d’une population en croissance  ».
La relation de causalité entre la perte de la biodiversité et la croissance démographique humaine étant aujourd’hui attestée, on est donc en droit de s’interroger sur l’absence de proposition de mesures concrètes dans le domaine de la limitation volontaire des naissances...

12.05 à 07h50 - Répondre - Alerter

La Biodiversité ? Toute le monde, ou presque, s’en fout.

On préfère "sauver" des banques pourries qui ont elles mêmes contribué à la destruction de la Biodiversité en finançant un tas de plans foireux et douteux.

Pensez qu’avec "seulement" 25 millions de dollars, on pourrait sauver les gorilles de montagnes et tout l’écosystème complexe qui englobe cette région d’Afrique qu’est le Virunga.
25 millions de dollars ? cela semble beaucoup, mais c’est une goutte d’eau par rapport aux centaines de milliards d’euros lâchés pour les systèmes obsolètes financiers. Pensez que Berlusconi (pour ne citer que lui) a, à lui tout seul, quelques 12 milliards d’euros. Et qu’à lui tout seul, il pourrait sauver une non négligeable partie de la biodiversité, mais il s’en fout, et préfère les yachts, villas et vie de riches beaufs parvenus. Et c’est le rêve de milliards d’humains...

L’espèce humaine est une erreur de la nature, mais une erreur fatale.

Alain Jobardot

21.05 à 09h43 - Répondre - Alerter