Le stress au travail ne se déclare pas seulement par un sentiment de fatigue, de déprime ou un état de tension - parfois mortel - chez le salarié. Il est aussi un symptôme physiquement mesurable. Comment ? En quantifiant le taux de cortisol, l’hormone du stress, dans la salive. Et d’après La Tribune (24 septembre), cette découverte pourrait être lourde de conséquences sur la vie des entreprises. Car, si les médecins réussissent à établir un lien de cause à effet entre situation au travail et stress, et à mettre sur pied une batterie de critères objectifs de mal-être (turn-over, démissions, etc.), les firmes ne pourront plus regarder ailleurs quand on évoque le sujet. Notre système d’assurance-maladie pourrait lui aussi en être bouleversé, car, actuellement, le stress est exclu du tableau des pathologies professionnelles. Une bonne dose de stress budgétaire en perspective !
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