Lors d’une conférence de presse, mardi 8 décembre, Nobuo Tanaka, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), a affirmé que si aucune mesure "n’était prise immédiatement pour réduire les émissions de CO2", il faudrait investir quelque 500 milliards de dollars par an pour rattraper le retard et tenter de limiter la hausse de la température mondiale à 2 degrés.
Nobuo Tanaka ne croit pas pour autant qu’un traité international puisse être signé à Copenhague, mais il espère qu’un "message très fort" sera adressé par les chefs d’États afin d’encourager les investisseurs.
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