Dans le dernier blockbuster hollywoodien Le jour d’après - signé du réalisateur expert ès catastrophes R. Emerich - New-York est engloutie sous une vague géante avant d’être glacée par un “super-blizzard”. Contrairement aux extra-terrestres d’Independence day, cette fois-ci “la menace, plutôt réaliste, est le réchauffement planétaire”. Selon l’hebdomadaire Time, ce détail donne au film un poids que des politiciens plutôt à gauche comme Al Gore n’ont pas manqué de relever, faisant du Jour d’après, le symbole de leur combat écologique. Le hic, souligne Time, est que ceci les place aux côtés de Fox, le studio qui a financé le film. Fox, “dont le propriétaire est le milliardaire Rupert Murdoch... fervent supporter de Bush”.
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