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Terra eco
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De 1971 à 2012, qui tenait les manettes de l’écologie ? |
Ministre de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement de novembre 2010 à février 2012, NKM s’est engagée pour le maintien de l’interdiction de l’OGM Mon810, à l’encontre des décisions européennes. Crédit photo : Veni Markovski - flickr
Secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie de 2009 à 2010. Elle énonce les « principes d’une écologie de droite », à savoir la croissance, le progrès technologique et l’utilisation de l’énergie nucléaire. Crédit photo : Fondapol - flickr
Il occupe de 2007 à 2010, le ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat. Il s’implique lors du Sommet de Copenhague en présentant un « plan justice-climat » basé sur la solidarité entre pays riches et pauvres. Il organise le Grenelle de l’environnement, largement contesté. Crédit photo : fondapol - flickr
On l’aurait presque oublié, mais le maire de Bordeaux a occupé le poste de ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’aménagement durables pendant un mois en 2007. Crédit photo : Medef - flickr
Ministre de l’Ecologie et du Développement durable sous la présidence de Jacques Chirac, de mai 2005 à mai 2007. Crédit photo : Sénat
Le maire de Bourges a été ministre de l’Ecologie et du Développement durable de 2004 à 2005. Crédit photo : Mairie de Bourges
Ministre de l’Ecologie et du Développement durable de 2002 à 2004. Elle déclenche la colère des protecteurs de l’environnement, en déclarant que le nucléaire est « l’industrie la moins polluante ». Crédit photo : upindetv - flickr
De 2001 à 2002, le Vert est ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire. Crédit photo : Guillaume Paumier - flickr
Issue des Verts, elle devient ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement de 1997 à 2001. Son passage est marqué par l’adoption du Protocole de Kyoto (décembre 1997). Mais lors de la marée noire de l’Erika (décembre 1999), on lui reprochera d’avoir déclaré qu’il ne s’agissait « pas de la catastrophe écologique du siècle ». Crédit photo : Manuel - flickr
Ministre de l’Environnement de 1995 à 1997. Elle rend obligatoire la surveillance de la qualité de l’air et renforce les mesures de limitation de la circulation en cas d’alerte. Mais elle est critiquée pour son silence quand le gouvernement Juppé reprend les essais nucléaires et redémarre le réacteur nucléaire Superphénix (abandonné en 1997). Crédit photo : Corinne Lepage - flickr
Ministre de l’Environnement de 1993 à 1995, il se dit défenseur d’une écologie humaniste. Crédit photo : security and defense agenda - flickr
Ministre de l’Environnement de 1992 à 1993. Elle sera pour l’heure la seule personnalité politique issue du Parti socialiste en charge de ce porte-feuille. Crédit photo : Guillaume Paumier - flickr
Ministre de l’Environnement de 1988 à 1992. Militant écologiste, il rejoint les Amis de la Terre et fonde Génération écologie, en 1988. Lors de son mandat, il impose aux automobilistes le pot catalytiques pour limiter la nocivité des gaz d’échappement. Crédit photo : Génération écologie
Ministre délégué auprès du ministre de l’Équipement, du Logement, de l’Aménagement du territoire et des Transports, chargé de l’Environnement de 1986 à 1988. Au sujet de la catastrophe de Tchernobyl (11 mai 1986), il déclare qu’en France, « les taux de radioactivité les plus élevés sont en dessous des seuils à partir desquels il y a danger. » Des propos vivement controversés. Crédit photo : blog Alain Carignon
Ministre de l’Environnement de 1983 à 1986. Également écrivaine, elle est à l’origine de la loi qui porte son nom, sur la protection de l’environnement et la démocratisation des enquêtes publiques. Crédit photo : Assemblée nationale
Ministre de l’Environnement de 1981 à 1983. Il contribue au vote de la France pour la Charte mondiale de la nature aux Nations Unies. Pour la première fois, un texte « consacre l’importance, pour la survie de l’humanité, de la protection de la nature et des écosystèmes. » Et définit la notion de développement durable. Crédit photo : Assemblée nationale
Ministre de l’Environnement et du cadre de vie de 1978 à 1981. Crédit photo : Assemblée nationale
Ministre de la Qualité de la vie de 1976 à 1978. Alors que son mandat touche à sa fin, il affronte la marée noire de l’Amoco Cadiz sur les côtes bretonnes, considérée comme l’une des pires catastrophes écologiques de l’histoire. Crédit photo : Assemblée nationale
Ministre de la Qualité de la vie de janvier à août 1976. Crédit photo : Assemblée nationale
Secrétaire d’État auprès du ministre de la Qualité de la vie, chargé de l’Environnement de 1974 à 1976. Crédit photo : Assemblée nationale
Écrivain et diplomate, il devient ministre des Affaires culturelles et de l’Environnement pendant trois mois, jusqu’à la mort de Georges Pompidou en 1974. Crédit photo : Sénat
L’ancien maire de Dijon devient ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Protection de la nature et de l’Environnement en janvier 1971. Il occupe la première version du poste de ministre de l’Écologie, jusqu’en 1974. Il affronte notamment le premier choc pétrolier en 1973. Crédit photo : Assemblée nationale
Née au bout de la Loire, un pied dans l’Atlantique, l’autre embourbé dans la terre, elle s’intéresse aux piafs et aux hortensias, observe ses voisins paysans et leurs élevages bovins. Elle enrage devant les marées noires. Licenciée en lettres, elle sort diplômée de l’Institut pratique du journalisme de Paris en avril 2012. Elle scrute les passerelles qui lient les hommes à leurs terres. Parce que raconter la planète, c’est écrire au-delà des pommes bio et du recyclage de papier.
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