Cette sortie en kiosques est une « première » en France, à trois titres. En premier lieu, Terra eco répond à une demande croissante des lecteurs pour l’information sur le développement durable et pour les 3 ingrédients qui le composent : l’écologie, les enjeux de société et l’économie. La crise économique semble avoir renforcé l’aspiration d’une partie des lecteurs à « voir le monde différemment ». Le développement durable répond à cette attente car il ouvre des voies nouvelles. Ce sont ces voies que Terra eco explore chaque mois.
En second lieu, la sortie en kiosques de Terra eco est un aboutissement pour cette aventure éditoriale rare dans la presse française. Le magazine était jusqu’alors diffusé uniquement sur abonnement. Il est né sur le Web il y a 5 ans. Les fondateurs de Terra eco avaient alors 1.500 euros en poche, une intuition éditoriale forte et un collectif de journalistes prêts à faire vivre ce projet. Cinq ans plus tard, Terra eco compte 10.000 abonnés, emploie 10 personnes et fait travailler un réseau de 70 journalistes sur les 5 continents.
Enfin, Terra eco est un magazine dont la sortie en kiosques a été entièrement pensée pour minimiser l’impact environnemental. Cette démarche, baptisée « Projet Terra responsable », en cours dans l’entreprise depuis deux ans, donne aujourd’hui ses premiers résultats.
Nous avons cherché à être les meilleurs partout où cela était possible. Mais tout n’est pas possible. Par exemple, nous utilisons des encres minérales (dérivées du pétrole) car à l’heure actuelle les machines rotatives ne peuvent pas fonctionner avec des encres végétales.
Devenir un éditeur « responsable » est un cheminement. Il s’agit de mettre en place des outils d’amélioration continue. Et surtout, à terme, de déboucher sur des innovations de rupture et des modifications des modes de production et de consommation. Il s’agit aussi d’inciter notre équipe à se poser chaque jour la question de ses impacts sociaux et environnementaux.
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions