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12-03-2012
Mots clés
Transports
France
Diaporama

Des véhicules du futur made in France

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Voilà un deux-roues qui se plie en quatre. Et le tout en moins de 20 secondes, assure son concepteur. Produit par XOR Motors, une entreprise de Gardanne (Bouches-du-Rhône), ce véhicule appelé S’PLR a une autonomie de 130 km pour une conduite en ville, et se recharge en 1h20. De quoi, espère XOR Motors, plaire à ceux qui souhaiterait emmener leur scooter dans le train ou le garer dans leur salon.

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Cette voiture n’a pas de moteur sous le capot. Les moteurs sont en fait logés dans les roues, qui contiennent également une suspension électrique et le dispositif de freinage. Développée par Michelin et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique), cette technologie permet de gagner de la place et de réduire le poids de cette voiture de 5 places appelée Forewheel.

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Même les utilitaires se mettent à l’électrique. Pour développer ce modèle, appelé Velroue, Renault s’est inspiré du Kangoo. Sauf que Velroue dispose de deux motorisation. L’une électrique, située près des roues arrières pour la circulation en ville. L’autre, hybride thermique, pour rouler sur route.

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Peugeot a lui aussi parié sur un scooter 100% électrique, en partenariat avec Boxer Design. Appelé LIM,il se recharge sur une prise de courant classique de 220 V, pour une autonomie de 60 km. Ses concepteurs espèrent le commercialiser au printemps 2012.

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PSA Peugeot Citroën a aussi parié sur le quatre roues. Ce véhicule, baptisé Vélv, est destiné à transporter 3 personnes. Ne mesurant que 2,80 mètres de long, il se veut facile à garer.

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Ce mini véhicule à quatre roues est lui destiné aux petites livraisons urbaines. Il peut transporter jusqu’à 100 kg de charges, mais ne mesure que deux mètres de long sur 80 centimètres de large. Sa fabrication en série est prévue au début 2013, assure Véléance, son concepteur.

 
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Des scooters pliables, des voitures sans moteur sous le capot et des tricycles urbains... En France, on n’a pas de pétrole (ou presque) et on sait que celui-ci va devenir rare et cher. Alors, on prépare les alternatives originales et qui roulent à l’électrique.

L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) a présenté vendredi 9 mars plusieurs modèles de véhicules « décarbonés » conçus par des entreprises françaises. Financés en partie grâce au Fonds démonstrateur de recherche et aux investissements d’avenir (le grand emprunt), ceux-ci sont prêts à être industrialisés. Car le temps presse : selon l’Ademe « la nouvelle génération de véhicules décarbonés pourrait représenter environ 2 millions de véhicules à l’horizon 2020 pour atteindre l’objectif de réduction de 17,5 millions de tonnes de CO2 fixé par le Grenelle Environnement ».

Si de grosses interrogations demeurent sur cette filière - ne serait-ce que sur la possibilité de produire suffisamment d’électricité pour un parc important de véhicules électriques - ces exemples montrent que la France peut produire des véhicules innovants, légers et adaptés à une circulation en ville moins polluante. Nous vous proposons de les découvrir dans ce diaporama.

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  • Sincèrement c’est dommage de s’arrêter aux gros "faiseurs" pour cet article. D’autres sociétés telle SEV, produisent des deux roues électriques (ici le e-tricks) sur des marchés, certes de niche, mais qui montrent qu’il y a de l’inno en france...

    19.03 à 08h31 - Répondre - Alerter
  • Et Roswell ? le gars qui est partie vivre ailleurs, l’est sur une aut’ planète, moins polluée ;)

    14.03 à 13h58 - Répondre - Alerter
  • 1914, brevet déposé par un français concernant les véhicules propulsés par un moteur à air comprimé. concept repris dans les années 1990 environ par un ex ingénieur de Renault à qui l’administration a mis des batons dans les roues pour empêcher le développement du projet. Alors arrêtez de nous bourrer le mou et de nous gonfler avec l’électrique. Au fait, a-t-on retrouvé le garagiste de Rouen qui avait présenté au début des années 1970, un moteur fonctionnant avec de l’eau. Une boite de sa fabrication dissociait les deux composants de l’eau : hydrogène et oxygène et ça fonctionnait très bien. Disparu le gars. Pas de corps pas d’enquête, dossier classé. L’a bien le droit d’aller vivre ailleurs sans le dire à personne. Pratique n’est-ce pas ?
    Même son de cloche silencieux sur ce génie que fut Nicolas TESLA fin 19ème début 20ème. Exceptionnel ingénieur en électricité qui a allumé plusieurs milliers d’ampoules à 40 km du lieu où il était, SANS FILS et avec des centaines de témoins, dont des "z’officiels". Inventeur, entre autres, de la TSF, brevet "historiquement attribué" , vaut-mieux-pas-savoir-comment à Marconi qui a perdu les procès intentés contre lui par Tesla en 1943 après presque vingt ans de procédures ! Il a récupéré la paternité d’une vingtaine de brevets qui lui ont été scandaleusement piqués. A mis au point un système pour fabriquer de l’électricité gratuitement avec une source d’énergie inépuisable, ben oui c’est possible et ça marche.
    Mais chut faut pas le dire, !
    Allez, on le dit quand même : c’est avec des aimants ! Techniciens à vous. Public, sache qu’on nous prend chaque jour pour des truffes.

    13.03 à 23h35 - Répondre - Alerter
    • Concernant le concept du véhicule à air comprimé, voir tout ce que la toile offre comme témoignage à charge sur le projet et celui qui le porte : c’est édifiant !
      Quant au garagiste qui aurait conçu le moteur à eau, le magazine Citropolis, spécialisé dans les Citroën anciennes avait mené son enquête et conclus à une mystification.
      Les travaux de N. Tesla sont en revanche beaucoup plus intéressants. Il ne reste plus qu’à trouver quelqu’un qui puisse leur redonner vie !

      15.03 à 16h42 - Répondre - Alerter
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