publicité
haut
Accueil du site > Actu > Santé > L’abus de Coupe du Monde peut être dangereux pour la santé
15-06-2010
Mots clés
Sports

L’abus de Coupe du Monde peut être dangereux pour la santé

Taille texte
{#TITRE,#URL_ARTICLE,#INTRODUCTION}
L'abus de Coupe du Monde peut être dangereux pour la santé
(Crédit photo : PresleyJesus - Flickr)
 
SUR LE MÊME SUJET

Vous redoutez d’être mené au cercueil par les pesticides, la malbouffe, la centrale nucléaire voisine ou la pollution de l’air ? Si vous êtes un peu hypocondriaque sur les bords, ce qu’il reste de votre ferveur pour les Bleus va en prendre un coup. « Une étude du British Medical Journal a montré que le risque d’être admis dans un hôpital anglais suite à un infarctus sévère du myocarde le 30 juin 1998 était 25% plus élevé que la moyenne », explique Miller McCune. Ce jour-là, les Anglais avait perdu aux pénaltys en 8e de finale de la coupe du Monde de football...

Statistiques confirmées, en pire, en 2002 comme en 2006. Conclusion : « si votre pays perd, gardez un défibrillateur sous la main ». Le New England Journal of Medicine concluait même sans rire que « des mesures urgentes sont nécessaires » avant la Coupe du Monde 2010, comme « administrer des doses plus fortes de médicaments beta-bloquants », note le site.

Exception faite de la France, où la liesse l’a emporté sur le stress lors face au Brésil en 1998. Et de l’Ecosse, où en 1990 les chercheurs ont observé une chute des internements d’urgence dans les hôpitaux psychiatriques pendant la compétition. « Football : s’il ne vous tue pas, il préservera votre santé mentale », s’amuse le journaliste.

Faites réagir vos proches, diffusez l'info !
Vous aimez Terra eco ? Abonnez-vous à la Newsletter

Journaliste, collaborateur régulier pour Terra eco.

1 commentaire
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • Si le foot-fric est bon pour la santé de ceux qui le pratique et de ceux qui le regarde, je doute que les commentaires parfois désobligeants de certains journalistes soient bons pour la santé mentale des spectateurs.
    Prenez le cas du vuvuzela et de la coupe du monde qui se joue actuellement an Afrique du Sud ou quand la fête du foot-fric flirte avec racisme à peine voilé.

    Nos médias ont trouvé un nouvel os à ronger… Mais dans cette obsession du très présent vuvuzela il y a comme une sorte de mépris non dit, comme une dénonciation de l’altérité de ces Sud-Afs aux mœurs biens particuliers – selon nous – dont la joie bruyante, via cet instrument et à défaut de produire un hymne à la joie, semble choquer les oreilles de nos sympathiques commentateurs… Aucun n’y échappe, même une certaine radio, célèbre pour ses messes populaires à longu’heures d’onde sur nos petits et grands travers ou le déraillement de notre démocratie.

    Pourtant dans nos stades, chaque week-end est aussi rythmé par son lot tonitruant de trompettes. De chansons au contenu peu amène à l’encontre des visiteurs et des arbitres et combien de fois teintées de relents racistes, quand cela ne finit pas avec la mort d’un supporter.

    A écouter et lire tous ces médias, c’est comme entendre une certaine caravane passée, a priori tous contre le mépris, le dénigrement, mais au fond prêts à rétablir une sorte de ségrégation culturelle (là-bas ça portait le nom d’apartheid) black and white, uniquement parce que le vuvuzela ne sonne pas comme nos civilisées cornes de brume en bombe sur pressurisée.

    Contradiction quand tu nous tiens ! Ouverture en trompe l’œil, football censé gommer les frontières des hommes, rapprocher le monde mais qui sur un prétexte dérangeant - ces 120 décibels du vuvuzela - semble vouloir plutôt refermer la porte…

    A. Aboubacar-Lorenzo

    17.06 à 14h34 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
publicité
2
    Terra eco
    Terra eco
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas