Il a beau avoir été déclaré « fleuve national », rien n’y fait. Le Gange reste un dépotoir souillé par des rejets chimiques, les égoûts, des restes de cadavres humains ou d’animaux… « Malgré ce nouveau statut, aucun effort n’est fait pour nettoyer le fleuve », regrette un riverain interrogé par The Times of India. Pis, accuse le président d’une ONG environnementale, la construction d’environ 240 barrages sur les affluents menacerait d’apporter un flot de nouveaux problèmes en faisant baisser le débit du fleuve. Environ 400 millions de riverains encourent des risques majeurs pour leur santé, souligne le journal.
-
Terra eco
-
Terra eco
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions