Quatre mois après le séisme, les promesses commencent à faire long feu. D’abord sur le plan humanitaire, explique l’agence Inter Press Service. La Jamaïque et la République dominicaine qui s’étaient engagées à ouvrir leurs frontières aux réfugiés font déjà marche arrière. Et sur le plan financier, les ONG s’interrogent sur le degré de certitude des dons promis à Haïti – plus d’un milliard d’euros – après la catastrophe. En 1998, après le passage de l’ouragan George, seuls 30 % des montants étaient parvenus jusqu’à Port-au-Prince.
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