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28 octobre 2015, par Alexandra Bogaert
Alors qu’une partie des cimetières de l’Hexagone sont saturés, les villes cherchent de nouvelles places pour nos défunts. A la verticale, en réattribuant des concessions abandonnées… l’idée est aussi de se réapproprier ces espaces.
Brassens, dans sa Supplique pour être enterré à la plage de Sète, chantait : « Mon caveau de famille, hélas ! n’est pas tout neuf. Vulgairement parlant, il est plein comme un œuf. » C’est bien le problème : une partie des cimetières français sont saturés, ou proches de l’être. (...)