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26 mars 2015, par Alexandra Bogaert
Le romancier laisse l’écriture de côté pour un moment. Il veut désormais se frotter au réel, agir pour la France, avec son mouvement Bleu Blanc Zèbre.
Il arrive en retard. S’excuse d’un sourire fatigué : « J’ai 58 vies ! » Ouvre la porte d’une maisonnette du XVIIe arrondissement, son studio de travail blanc et impersonnel. Tire vers nous son modeste bureau de bois peint, sur lequel sont nés ses livres. S’assied, sérieux, presque sévère. Pas le temps de sortir un carnet, il embraye : « Je sors un nouveau (...)