En réponse à :
5 janvier 2015 19:54, par Elisabeth
Je fréquente pour ma part les deux systèmes (amap pour légumes, ruche de temps en temps pour le reste) et si j’ai une préférence pour l’AMAP (pour les raisons exposées dans l’article), j’ai conscience que ce système demande des habitudes de consommation et un engagement forgé sur une conscience militante que beaucoup de ménages n’ont pas ou ne sont pas prêts à avoir. La ruche qui dit oui (ou les autres systèmes de vente directe) offre à ces personnes une opportunité de découvrir la vente directe, qui constitue déjà un pas considérable vers une consommation plus durable et plus responsable, en l’incitant à se (...)