En réponse à :
29 juin 2009, par Chloé Poizat,
Karine Le Loët
Petite somme d’argent prêtée deviendra grande richesse possédée : la simplicité du microcrédit a valu à ce concept un succès immense. Mais quelques revers aussi : bénéficiaires livrés à eux-mêmes ou surendettés. Serait-il déjà bon à jeter aux orties ?
Pourquoi Salim, paysan du Bangladesh, est-il « coincé » dans sa pauvreté ? Parce qu’il n’a pas un sou pour monter son petit commerce et s’ouvrir grand les portes de la richesse. Accordez-lui un crédit et le voilà qui achètera une vache, vendra le lait au marché, (...)