La voie du désencombrement...

Je suis ravie de découvrir ton blog. Je suis arrivée ici en cherchant des conseils pour désencombrer mon appartement mais après avoir lu quelques uns de tes articles, je retrouve beaucoup de questionnements que j’ai déjà eu, sur le végétarisme par exemple, sans oser prendre la décision de mettre en oeuvre ce que je ressentais...parce que ça demande une remise en question, et dans beaucoup de cas "aller contre" ce que la plupart des gens font ou pensent. Je trouve que tu as une démarche cohérente, déjà bien aboutie, qui m’inspire ! Même s’il y’a 2 ou 3 choses que je trouve un peu "extrêmes" (pour le moment certainement, je commence à peine à me remettre en question ! je pense à l’urinothérapie mais après tout il y a 5 millions d’Allemands qui le pratiquent si je me rappelle bien).
Je peux te conseiller un livre que j’ai lu, "l’art de la simplicité" de Dominique Loreau. C’est davantage inspiré du minimalisme d’inspiration japonaise que d’une démarche écologique mais je ne pense pas que ce soit contradictoire, au contraire. Donc merci pour ton blog parce que tu as mis en mots et en action des choses qui étaient confuses pour moi mais tes convictions me semblent proches des miennes.
Par curiosité as-tu gardé tes affaires d’enfant (jouets, peluches, poupées, objets divers fabriqués à l’école ? Personnellement ça occupe une grande malle mais je ne peux pas m’en débarrasser, ça représente une part de soi dont on ne se souvient plus et dont ces objets sont les témoins.

10.07 à 00h35 - Répondre - Alerter

Dans la dernière chanson de Dominique A, il y a une phrase très juste : "nous ne possédions rien qui nous posséderait". C’est le problème actuel, les gens sont "possédés" par des objets, ils pensent que consommer les rendra plus heureux. Cependant, ce n’est pas vrai. On peut être très heureux en vivant dans la sobriété. Je recommande d’ailleurs le livre de Dominique Loreau, l’art de la simplicité, qui explique comment et pourquoi se désencombrer. http://www.savethegreen.fr/2012/11/...

15.05 à 14h53 - Répondre - Alerter

Se passer de certains biens matériels... Commencer par votre voiture !

14.05 à 20h35 - Répondre - Alerter

Merci pour cet article intéressant, dont je partage les opinions et les idées. Je réfléchis à tout cela depuis longtemps, lis de nombreaux articles et assiste à des conférences sur le sujet. Je suis encombrée d’objets qui ne servent pas ou rarement, j’ai du mal à me séparer de mes livres, et je garde des vetements que je ne remettrai sans doute jamais et qui pourraient sans doute faire des heureuses. Il faut donc que je fasse un tri draconien et que je me libère de beaucoup de choses. De toute façon ça ne tiendra pas dans un cercueil ! Puis je voudrais ete incinérée et ce serait dommage de bruler des choses qui pourraient servir à quelqu’un !
Alors c’est décidé, dès demain je m’y mets, je trie et j’essaie de garder ce qui me semble essentiel.
Ah les pépins de pomme, j’adore ça ! Je les mange tous, ils ont un petit gout d’amande délicieux et contiennent de l’arsenic parait-il (c’est bon contre les rides !). Mais je vais tout de meme en garder quelques-uns pour les semer et j’ai la chance d’avoir un jardin où planter un pommier (inconvénient : les pommiers ont besoin de beaucoup d’eau).
Merci encore

14.05 à 19h48 - Répondre - Alerter

Joie de constater que ce processus est vécu par d’autres ! Le cheminement d’idées en est familier.
Belle et heureuse nouvelle vie :)

14.05 à 18h52 - Répondre - Alerter

Epicure : certes, et c’est un des paradoxes de notre société.

Je cite Wikipedia : "Le Syndrôme de Diogène associe entre autres : (...) une accumulation d’objets hétéroclites nommée également syllogomanie (...)"

Source : Wikipedia, faites la recherche avec "Syndrôme de Diogène" je me suis fait enguirlander pour avoir voulu mettre le lien complet "Ce message contient des liens suspects qui ressemblent à du SPAM. Merci de les retirer."

Cordialement

13.05 à 20h02 - Répondre - Alerter

Bonjour Pénélope,

Entièrement d’accord avec votre article ! La possession (au sens large : objets, mais aussi personnes ou lieux) nous enchaîne.

Parfois c’est nécessaire voire salutaire, mais le plus souvent c’est un ancrage passager dont il faut pouvoir se libérer.

Boutons le syndrome de Diogène hors de notre société, hors de notre époque !

13.05 à 15h52 - Répondre - Alerter