si ils soudoie les ministres et president de beaucoup de pays commes l angletaires et l ameriques commes a fait mensato la il on une chance
en angletaires il avais fait une etudes
mais quand les chercheur on dit que l ogm etais dangereux
ils on tous etais viré et d autres on prie leur places pour dires que l ogm etais bon pour la santé
en ameriques le ministres de l agricultures a du signé que l ogm etais bon pour la santé
apres avoir u des pression d autres ministres -president et manssato
et sa on peux le voir sur internet
donc aretter de faires commes si on decouvré que l ogm est mauvais on le c est.
reste a savoir comment se debarrasser de menssato
par un tribunale pour crimes contres l humanité ?
ou payés des mercenaires pour l assassiné
le reste c est du baratin
1000 indien se suicide par an car menssato les ruines
si menssato est pas le pires des criminel
faut donc revoir les textes pour laisser tous tueur en liberté
qui devrais avoir les méme loi que pour menssato
bien sur qu’ils ont gagné une bataille... ils ont montré que les firmes multinationales imposent aux états et aux "experts" (qui le veulent bien...) leurs produits dangereux pour la santé sans aucun controle officiel et nous manipulent... il est temps que les études monsento et autres soient enfin totalement publiées et non cachées... on devine que si elles sont cachées au public c’est qu’elles ne sentent pas bons... et nous pauvres cloches de consommateurs nous devrions accepter cela sans rien dire.... honte aux pouvoirs publics noyautés par les lobbies industriels qui acceptent les oukases de ces sociétés nauséabondes...
et pour cause le mais transgenique ou toutes autres plantes sont dangereuses pour la santé d’une part et de l’autre cela ne sert à rien les insectesIde mauvaises herbes s’adapte très bien ideau nouveau pesticide insecticide et donc il faut toujours augmenter les doses mais le plus important c’est que la semence MONSANTO devra être achetée chez MONSANTO donc vous voyez le résultats...... curieusement des affaires concernant les plants transgéniques MONSANTO SONT RESTeES DANS LE PLUS STRICTE INTIMIDE / EXEMPLE COTON TRANSGENIQUE MAONSANTO EN INDE S SILENCE ET AILLEURS DANS LE MONDE RE SILENCE. MAIS IL FAUT PROTEGER LES INTERETS DE NOS CHERS TRES CHERS AMIS AMERICAINS DES POPULATIONS TOUT LE MONDE S EN FOUT §
Le CriiEAU apporte son total soutien aux travaux de recherche du Prof. Gilles-Eric Séralini, et à la démarche d’expertise indépendante de l’association Criigen
La lecture attentive de l’étude récemment publiée par l’équipe du Prof. Gilles-Eric Séralini sur les effets sanitaires délétères chez des rats de la consommation à long terme d’un OGM (maïs : NK 603) et d’un herbicide (Roundup) (1), démontre tout l’intérêt et la nécessité d’expérimentations comparatives dans l’évaluation de la qualité des aliments et des milieux.
Le CriirEAU * rappelle que les nombreuses critiques exprimées envers cette publication émanent d’institutions scientifiques et politiques, françaises et européennes, qui ne sont pas indépendantes des producteurs d’OGM.
Cette avalanche de critiques précipitées s’avère de plus méthodologiquement infondée. Le caractère innovant de l’étude d’écotoxicité dirigée par le Prof Gilles-Eric Seralini est en effet conforme aux bonnes pratiques scientifiques.
Nous, scientifiques et experts, sommes de plus en plus nombreux à ne plus accepter les dérives de cette « mauvaise science institutionnelle », soumise à l’influence des lobbies de grands groupes privés.
Le 19 octobre 2012 les Académies nationales d’Agriculture, de Médecine, de Pharmacie, des Sciences, des Technologies, et Vétérinaire se sont fendues d’un communiqué critiquant l’étude de G.-E. Séralini, sans que la totalité des membres n’ait été consultée. Paul Deheuvels, membre de l’académie des sciences, a pour sa part déclaré : « Je pense qu’on fait à cette étude un mauvais procès, par de mauvais arguments, et avec un acharnement parfaitement suspect compte tenu des immenses intérêts financiers qui sont en jeu. » (2)
Pour Yann Olivaux, membre fondateur du CriirEAU : « Pour éviter les pressions terribles du lobby des semenciers, cette étude a dû être réalisée dans le plus grand secret. Cela illustre toute la difficulté actuelle de réaliser une expertise contradictoire et indépendante en matière de santé humaine et environnementale (OGM, ondes électromagnétiques, polluants émergents des milieux aériens et hydriques, résidus médicamenteux dans l’eau, etc.) dès lors que cette expertise risque de remettre en cause les intérêts de certains grands groupes privés. » Les scientifiques doivent prendre leurs responsabilités pour éviter les critiques stériles et demander à reproduire de telles études.
Pour Michèle Rivasi, députée européenne EELV et membre du CriiEAU : « Je demande à ce que les résultats (données brutes) des études faites par les industriels/semenciers comme Monsanto, qui permettent de délivrer une autorisation par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), soient publics et accessibles sur internet. L’Efsa doit revoir le protocole des études qu’elle publie. L’agence doit en effet prendre en compte la dimension sanitaire et les conséquences écotoxicologiques et cancérigènes des tests réalisés. D’autre part, il faut que les industriels puissent abonder un fond qui permette de financer des études contradictoires et indépendantes. Enfin, il faut que la Commission européenne propose une directive relative à la création de la Haute Autorité de l’expertise scientifique et de l’alerte en matière de santé et d’environnement. Il est indispensable d’organiser la protection des lanceurs d’alerte, tout en luttant fermement contre les conflits d’intérêts qui se multiplient au sein notamment des agences européennes ».
1 GE Seralini & al, « Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize », Food and Chemical Toxicology, 16 Aout. 2012
Le CriiEAU (Comité de Recherches et d’Informations Indépendantes sur l’Eau) est une association pluridisciplinaire de scientifiques, de juristes et de personnes qualifiées proposant de nouvelles méthodes d’évaluation de la qualité de l’eau et diffusant une information indépendante des grands groupes de traitement et de commercialisation de l’eau.
Etude contestée : et si les anti-OGM avaient gagné la partie ?