Ceux qui avaient senti le vent tourner s’appellent Téléprésence ou Visioconférence : grâce à eux et selon la firme Merrill Data Site, la hausse des prix du pétrole et l’inquiétude des grands groupes pourrait être bonne pour l’environnement.
Ils sont ainsi de plus en plus nombreux à se tourner vers les réunions virtuelles, malgré le coût de l’installation (plusieurs milliers d’euros). Si le télétravail a du mal à faire ses preuves, l’arrivée du web a révolutionné les pratiques en la matière.
Car inquiètes pour leur avenir et poussées à l’économie par des budgets serrés, les entreprises commencent à refermer le porte-feuille, en particulier sur les voyages professionnels. Déplacement + hôtel + restaurant, la note de frais grimpe vite et s’alourdit d’émissions de carbone conséquentes.
L’an passé, les voyages d’affaires aériens en Europe auraient rejeté plus de 98 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère. Quant aux fusions entre les entreprises du vieux continent, elles auraient nécessité 112 millions de pages A4, l’équivalent de 10 000 arbres.
(Crédit photo : site Photo-libre)
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