Dans l’article précédent "Faisons-nous réellement ce que nous souhaitons ?" , nous étions arrivés à prendre conscience que nous voulions changer notre vie. Nous avions le besoin d’évoluer, bouger, changer, nous remettre en question et nous améliorer !

Tristes constats

Et là, très vite, on s’est rendu compte que l’on n’était pas seul à avoir cette envie ! De plus en plus de citoyens s’indignent et s’offusquent devant les dérives de notre monde soi-disant civilisé :

• des lobbies industriels, médicaux et agro-alimentaires continuent toujours à détruire notre Terre et nous empoisonnent délibérément pour des raisons de profits en privilégiant les intérêts économiques plutôt que les intérêts humains,
• des banques ayant provoqué la dernière crise, scandalisent par leur organisation,
• certains politiciens arrivistes voire corrompus ne pensent plus du tout à la population mais bien uniquement à leur carrière (voire plus),
• ces mêmes politiciens et multinationales privilégient à grands coups de millions ou de milliards, l’exploration de Mars (ou autres), l’armement, la construction de bâtiments ou de gares pharamineuses, plutôt que l’aide ou le service aux citoyens,
• des guerres que nous ne voulons pas et qui sont organisées par « intérêt », provoquent le chaos et attisent les rancœurs.
• .... Mais, on nous culpabilise et on nous fait « peur » sans arrêt.

Devant tant de faits et avec notre envie de changer, la question « classique » nous vint à l’esprit. Pouvons-nous, à notre niveau, changer quelque chose ? La réponse fut et reste évidemment « oui » !

« Si nous ne changeons pas, personne ne changera pour NOUS et rien n’avancera ! »

Vais-je, un jour, oser changer de vie ?

L’envie était donc là mais il fallait oser passer le cap de la pensée et commencer à agir. Ce n’est pas forcément facile et les statistiques concernant ce « passage à l’acte » ne sont pas très positives. Dans un sondage 2016 RTBF (télévision belge) , 91% des francophones de Belgique estiment que pour sortir de la crise, il faut changer de système (Futuromètre RTBF, octobre 2016) !

• Seulement 3 personnes sur 10 sont contentes de leur vie actuelle.
• MAIS, est-ce que les 7 autres personnes sont prêtes à changer ou vont-elle accepter de remettre leurs rêves d’une vie meilleure à plus tard ou à jamais ?
• Pour changer de vie, 90% des francophones de Belgique ne font pas confiance aux politiques et 82% estiment que, eux-seuls, ils doivent être volontaristes et qu’ils doivent faire bouger les choses ! (Futuromètre)Mais alors, pourquoi seulement 10 % des projets ou rêves de changement se réalisent-ils ?

Encore des questions !

Mais comme souvent, pour enclencher un processus qui, potentiellement, peut nous faire peur, nous nous sommes encore poser des autres questions.

Par contre, à la différence des précédentes, elles sont devenues un peu plus précises :

Se poser les bonnes questions

• Comment commencer et comment avancer ?
• Où voulons-nous aller ?
• Qui souhaitons-nous être ?
• Que voulons-nous vivre ? Avons-nous des projets ?
• Comment y arriver ?
• Qu’est-ce qui est essentiel à nos yeux aujourd’hui et qu’est-ce qui est superflu ?
• Sommes-nous prêts à faire des concessions ?

  OSER !

  A notre niveau, toutes les réponses ont poussé à aller plus loin et à nous lancer dans notre nouveau « challenge ». A partir de ce moment-là, l’envie de changer s’est amplifiée chaque jour ! Nos rêves et nos envies sont devenus de plus en plus clairs.

Dans le prochain article, nous parlerons enfin de nos premiers changements. Ils n’auront certainement pas tous la même importance mais ils nous ont TOUS permis d’avancer, d’évoluer.

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