De David Foster Wallace, Editions de l’Olivier, 1 488 pages, 27,50 euros.

Dans un futur proche, des séparatistes québécois cherchent une vidéo, L’Infinie comédie, provoquant une addiction mortelle. Le réalisateur est James Incandenza, décédé, et père d’un jeune tennisman surdoué et amateur d’herbe. Paru en 1996, ce roman américain culte vient de sortir en France. Il est une fenêtre ouverte sur la folie comme on en a rarement lu, drôle et d’une imagination foisonnante, et une critique toujours actuelle de la société du spectacle. Une bombe littéraire à fragmentation. —