L’épaisse couche de pollution qui a recouvert pendant une semaine un sixième du territoire chinois – et qui est censée se dissiper progressivement à partir de jeudi – a entraîné une ruée sur les masques de protection faciaux et les purificateurs d’air. Résultat : une rupture de stock sur les masques (le réapprovisionnement ne devrait pas avoir lieu avant un mois !) et un boom du prix des machines assainissantes.

Mercredi 26 février, la densité de particules de 2,5 microns de diamètre, les plus nocives, a atteint à Pékin un seuil de 557 microgrammes par mètre cube. Dans la province voisine du Hebei, la ville de Xinji a enregistré une densité de 761 microgrammes. L’Organisation mondiale de la santé recommande un plafond maximum de 25 microgrammes pour une exposition de 24 heures.

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