Le poisson, denrée chère. C’est le constat émis par la FAO (Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation). Selon l’organisation internationale basée à Rome, les contraintes d’approvisionnement pour plusieurs espèces de poissons très appréciées font grimper les prix. Bilan, des prix 15% plus élevés que le précédent record en mai dernier.

En cause également, la hausse de la demande asiatique sur plusieurs espèces clés. Si la Chine est le premier producteur mondial de Tilapia, un poisson d’eau douce, elle importe de plus en plus de poissons et notamment le saumon et les crustacés, avec une augmentation de la consommation de 20% par an pour ces derniers. Ainsi, les prix du saumon et des crevettes ont augmenté respectivement de 27% et 22%. De quoi déguster lentement coquillages et crustacés.

 Un article du Financial Times à lire (en anglais et après inscription) par ici

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