Tout juste intronisée reine de l’éolien offshore – avec 600 MW installés, c’est la première puissance mondiale –, la Grande-Bretagne veut souffler plus fort. Les cabinets d’ingénieurs, les universités et les instituts de recherche ont jusqu’au 15 juin pour proposer des alternatives, solides et bon marché, aux fondations actuelles. Aujourd’hui, les éoliennes offshore sont en effet plantées sur un cylindre de béton, procédé qui concentre 20 % du coût total de l’installation. A la clé pour le gagnant : un chèque de 22 millions d’euros, et peut-être un marché de 2,8 milliards.

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